Pari Gagnant

chapitre 17

Jack

J'ai gagné ! J'ai gagné, et je vais baiser Lucas !!
Putain je me sens fébrile... Je suis aussi excité que pour ma première fois, quand Emy May m'a dit qu'elle acceptait de coucher avec moi, j'ai failli en cracher dans mon caleçon.

- Jack. Jack ! Tu as gagné...
- Oui.
- Tu te sens pas bien ? Tu es bizarre.
- Je tente de faire tomber la pression. J'ai tellement envie de te baiser, mais je sais pas si je vais assurer...
- Jamais testé la sodomie avec une fille ?
- Si une fois. Souvenir pas forcément mémorable. Moi j'ai plutôt apprécié, mais la fille pas vraiment.
- Les filles n'ont pas de prostate, l'expérience est différente. Tu as peur de me décevoir ? Ou d'être déçu ?
- Me concernant, je suis sûr de pas être déçu. J'ai passé la moitié de la soirée à m'imaginer m'enfoncer au fond de ton cul.
Mais en ce qui te concerne, et si j'étais pas un bon coup ?
- Rassure toi, pour un mec y'a toujours moyen de prendre son pied. Rappelons que tu m'excites tellement que j'ai déjà éjaculé, rien qu'en te suçant.
Allez viens ici, si tu dois me baiser, je veux d'abord que tu m'embrasses, je suis pas Julia Roberts.

Bon sang ce mec sait vraiment embrasser. J'ai des frissons qui me remontent le long de la colonne vertébrale, alors qu'on a à peine commencé.
Je pensais que ça ferait bizarre de tenir un corps masculin dans mes bras, mais ça me semble étrangement naturel.
Lucas est vraiment bien foutu. J'avais pu le constater dans les vestiaires, mais de poser mes mains sur lui... Il est ferme et doux à la fois, super réactif, je sens sa peau vibrer lorsque je passe mes doigts dessus.
J'entends sa respiration heratique, je crois qu'il est aussi excité que moi.
En tous cas son érection, que je sens appuyer contre mon ventre, fait concurrence à la mienne.
Je détache mes lèvres des siennes, dépose de légers baisers le long de sa mâchoire, il tremble et ses doigts s'accrochent à ma chemise.
Mes doigts viennent défaire un à un les boutons de sa chemise.
Je remonte le long de ses abdos et vient pincer son téton droit.
Visiblement Lucas y est très sensible, son téton durcit sous ma pression et je viens y déposer mes lèvres.
Avec mes dents j'exerce un légère pression. Lucas couine.
Merde c'est trop bon...
Mes doigts redescendent et viennent défaire sa braguette.
J'empoigne son érection et commence à la caresser à travers son caleçon.

- Jack... Tu es en train de me rendre dingue...
- Crois moi je suis loin d'en avoir fini. Je veux te faire complètement degoupiller.

J'attrape son caleçon et le descend en même temps que son pantalon.
Sa bite se dresse devant moi, glorieuse. Superbe !
Oui, moi Jack l'hetero, je trouve sa queue superbe. L'idée a fait son chemin et apparemment je suis en paix avec ça.

Je la prends et la caresse, fermement comme j'aime qu'on me le fasse. Visiblement Lucas a l'air d'aimer. Il soupire et tremble sous ma pression.
Ma main continue son exploration et j'empoigne ses testicules délicatement, je les sens se contracter, et Lucas halète de plus en plus fort.

- Putain Jack c'est tellement bon !!!
- Ravi que tu aimes. Par contre est-ce que tu as de quoi nous permettre de continuer pas trop loin, où est-ce qu'il faut qu'on aille dans ta chambre ?
- Ouvre le tiroir de la table basse, il y a du lubrifiant et des capotes.
- Prévoyant ?
- Optimiste...

J'attrape le lubrifiant et en dépose sur mes doigts.
Mon index vient effleurer son anus. Oh comme c'est bon de le voir trembler...
J'exerce une légère pression, et petit à petit commerce à le détendre. Mon doigt glisse en de lents va et vient, et la respiration de Lucas devient anarchique.
J'insère un deuxième doigt, et soudain je frôle une petite boule. L'anus de Lucas se resserre violemment sur mes doigts et il gémit. Je crois que je viens de trouver sa prostate.

- Jack ! Arrete de me torturer ! Je t'en prie, baise moi !!!
- Retourne toi, genoux au sol, coudes sur le canapé. Je veux te prendre bien fort. Ça te convient ?
- Oui !! Dépêche toi !!

Pendant que Lucas se positionne, je me déshabille, et enfile le préservatif. J'étale du lubrifiant sur ma queue généreusement.

- Tu es prêt ?
- Plus que prêt....

Je m'agenouille derrière lui, prends ses lobes à pleines mains et les écartent délicatement.
J'aligne ma queue tendue avec son anus et commence à faire pression. Mon gland passe la barrière de son muscle et je m'arrête une seconde pour apprécier la pression sur ma bite. C'est divin...
Je reprends ma poussée et m'infiltre petit à petit jusqu'à ce que mes couilles soient collées à son cul.
Mon dieu... C'est chaud, c'est étroit, c'est tellement bon !!!
Je me perds dans mes sensations.

- Lucas ça va ?
- Putain oui... Tu es tellement gros, la sensation est merveilleuse. Je t'en pris bouge. Tu m'as promis d'y aller fort !
- Accroche toi alors.

J'entame de longs et profonds va et vient, de plus en plus énergiques.
Mes couilles claquent contre son cul, mes doigts s'enfoncent dans sa chair. Je frôle le paradis. Ma vue se trouble.
Lucas gémit de plus en plus fort. Ma queue vient taper à plusieurs reprises sur sa prostate, ce qui lui provoque de puissants tremblements.

- Je suis pas sûr de pouvoir tenir encore longtemps, je suis en feu.
- Moi aussi Jack, putain c'est si bon...
- Caresse toi fort. Je veux que tu jouisses sur ma queue, je veux pas me ridiculiser en craquant le premier.
- Aucun risque de te ridiculiser. Bon sang je... Argh... Putain...

Lucas attrape sa queue et se masturbe en rythme avec mes coups de boutoir. Moins d'une dizaine de va et vient plus tard, le canal de Lucas se contracte sur ma queue à m'étrangler, il hurle, et je craque.
J'éjacule à long trait. Je perds la vue quelques secondes, mes neurones fondent, je viens de décéder, et le paradis vient de m'ouvrir ses portes.
Je m'écroule sur le dos de Lucas. Si je dois mourir, autant l'emporter avec moi.

- Je suis mort. Faites ce que vous voulez de mon cadavre, je ne peux plus bouger.
- Hmm... Tout pareil... Par contre je commence à avoir mal aux genoux. Tu veux pas qu'on se cale un peu ?
- Ok mais ça va être dur. Allez de toutes façons il faut que je retire le préservatif. Je vais ramener un linge humide.
- Merci...
- Laisse moi nettoyer, j'espère qu'on a pas flingué ton canapé.
- Si c'est le cas ça en valait le coup. Faut que je fasse gaffe, tu pourrais me rendre accro. Ça fait longtemps que j'avais pas joui aussi fort.
- Et pour moi, c'est carrément une découverte. Je pensais avoir aimé baiser mes ex, mais là je trouve pas les mots.
J'ai même pas envie de rentrer, j'ai les jambes coupées, je vais avoir du mal à grimper sur ma moto.
- Tu es pas obligé de rentrer, j'ai de la place.
- Dans ton lit ?
- J'ai perdu alors c'est toi qui choisit. La chambre d'amis ou mon lit, aucune pression.
- Alors je crois que je me caler dans ton lit. On dors pas assez dans ta chambre d'amis.
- Tu as pas peur que je t'empêche de dormir ?
- J'ai peur de rien...