Lucas
Mon dieu comme j'ai bien dormi. Comme jamais. Sentir les bras de Jack autour de mon corps ça vaut tous les doudous du monde.
Mon sexe est réveillé, et celui de Jack aussi, vu la pression contre mon cul.
- Jack...
- Mmm...
- Tu es réveillé ?
- Mmm...Je pousse un peu plus mon cul au contact de son érection, et je commence à me frotter délicatement.
Son sexe coulisse délicatement le long de ma fente, frôlant mon anus.
Mmm c'est tellement bon... Je me caresse en rythme avec mes balancements quand je sens une main venir chasser la mienne.- C'est à moi ça. Tu ne peux pas te toucher si je ne peux pas te voir faire.
- Tu voudrais me regarder me branler ?
- Oh ouais ! Te regarder, te le faire, j'aime ta queue, j'aime ta bouche, j'aime ton cul. Je veux tout de toi.
- Je suis tout à toi, tu peux tout prendre.
- Oh mais je vais tout prendre. Et je crois que je vais commencer par ton cul. C'est inacceptable de te trémousser comme ça contre moi alors que je suis sensé être endormi.
- Tu as répondu Mmm... C'était donc au moins un demi réveil...
- Défend toi comme tu peux,je vais te baiser, maintenant.Jack se penche pour attraper le lubrifiant dont il s'enduit généreusement, puis revient contre moi, recallant sa queue dans ma raie, coulissant délicatement...
- Jack ...
- Oui mon amour ?
- Je veux que tu me prennes. Maintenant. Avec ta queue, vas-y fort, je veux pouvoir te sentir encore pendant des heures après que tu auras quitté mon cul.
- Je vais te faire mal si je fais ça.
- Non . Et même, je ne crains pas un peu de douleur. Vas-y. Fort. Je t'en supplie.
- Ok mais tu le dis si c'est trop.
- Oui oui . Prends moi Jack.Le gland de Jack se décale alors contre mon trou. Grâce au lubrifiant et à une douce pression, mon corps s'ouvre pour lui. Je sens sa queue s'enfoncer. La pression est vive, je sens un peu de douleur, mais dix fois plus de plaisir.
Je sens rapidement son corps venir claquer contre le mien.
Commence alors un puissant va et vient, ses couilles viennent frapper mon cul, et sa bite vient littéralement défoncer mon canal.
Chaque coup vient taper contre ma prostate.
Jack revient enrouler sa main autour de ma queue, et me branle au rythme de ses acoups.
Je me cambre et agrippe ses cheveux pour l'obliger à m'embrasser. Ma langue plonge dans sa bouche. Et je me noie dans son ardeur.
Des décharges électriques me foudroient et je convulse.
Mon sperme jaillit sur les doigts de Jack, et mon canal broie littéralement sa queue. Il se déverse en moi à longs jets.
Bon sang, je n'avais jamais baisé sans capote. Sentir son foutre jaillir au fond de mon cul provoque un regain de mon orgasme.
Je crois que je suis heureux. Amoureux fou et heureux. Vraiment...Jack retire sa main de ma bite et vient lécher ses doigts recouverts de mon sperme. Je crois n'avoir jamais rien vu de plus sexy. Je reprends alors sa bouche pour l'embrasser profondément.
- Hmm... Tu as mon goût.
- Un très bon goût. Les nanas n'y connaissent décidément rien.
- Une chance pour moi.
- Il faut qu'on prenne une douche, on en a mis partout.
- On la prend ensemble ? Tu comprends, je suis très inquiet pour la planète, il faut préserver les ressources d'eau au maximum...
- Belle excuse. Avoue que tu veux juste reluquer mon cul sous la douche. Tu regrettes toujours que je n'ai pas fait tomber de savonnette la dernière fois, je suis sûr.
- Effectivement, mais je voudrais aussi voir à quelle vitesse j'arrive à te faire rebander en te suçant...
- Argh... Tu vas avoir ma peau. Je préfère ne pas faire de pari sur la résistance, celui-ci serait perdu d'avance.
Allez viens vite. Je veux ma bite dans ta bouche et ça ne peut pas attendre.***
- Alors Jack, prêt à affronter les fauves ?
- Totalement ! Après tout, c'est pas à ma vertu qu'on en veut.
- Oui quelle chance. Mais tu n'es pas hors de danger. Ma mère va certainement te passer sur le grill. Je suis persuadé qu'elle a fait mener une petite enquête. D'ailleurs je me demande si elle sait pour Julianne et son héritage, et qu'elle s'en fout, ou si elle l'ignore et la pense sincère dans sa démarche. Et surtout comment Julianne a pu lui faire gober son vif intérêt pour ma personne.
- Mais mon chéri, tant de charme naturel réuni en une seule personne, comme veux-tu qu'elle ne succombe pas ?
- Fous-toi de ma gueule en plus... Mais tu peux garder le " mon chéri", j'aime bien.
- Je ne sais pas... En le disant je me suis dit que c'était peut être un peu...conventionnel. Peut être que je devrais tester des petits noms plus...inventifs. Ma douceur, mon lapin, mon sucre d'orge... Tu sais à quel point j'aime les sucettes !
Mmm l'idée me plaît bien.
- Jamais, rappelle toi que j'ai une image de businessman respectable à maintenir. Le terme de "maître" ou "cher amour" me conviendrait mieux.
- Cher amour ??? Tu as trouvé ça où. Je suis sûr que c'était déjà désuet du temps de ma grand mère.
- C'est comme ça que ma mère appelait mon père, avant de l'avoir surpris en fâcheuse posture avec la jeune femme qui s'occupait de moi pendant les vacances où je rentrais du pensionnat.
Autant dire qu'il a passé la porte avec pertes et fracas, une main derrière une main devant, puisque la fortune familiale venait du côté maternel, et que sa famille avait fait en sorte qu'un contrat de mariage béton soit établi.
- Oh mince. Et tu vois encore ton père ? Tu m'avais jamais parlé de lui.
- Non . Je ne le voyais déjà quasiment pas du temps où il vivait avec nous, c'est pas lorsqu'il a eu perdu son porte monnaie ambulant, qu'il allait se mettre à me réclamer.
Il m'a juste recontacté une fois lorsque Forbes a fait un article sur la réussite de mon entreprise. Il en était à son troisième divorce, et souhaitait renouer avec son cher fils.
Autant dire que je n'y ai pas donné suite. J'ai pas eu besoin de lui étant enfant pour me construire, c'est pas une fois adulte qu'il allait pouvoir venir vivre à mes crochets.
- Bin merde alors. Je suis désolé. J'ai beau ne m'entendre que moyennement avec mes parents à cause de mon choix de carrière, vu que je leur ai prouvé que je pouvais réussir seul, ils me font plus la gueule autant. Même si pour ça il a fallu que je leur montre mon salaire. Ils pensaient pas qu'être assistant de direction pouvait être un vrai métier d'avenir.
- Je savais que j'étais trop généreux dans ma rémunération. Tu profites de ma faiblesse.
- Tttt je gagne totalement chaque centime que tu me verses, et vu les derniers contrats que mon talent au poker t'a ramené, je trouve même que je suis sous-évalué. On en reparlera d'ailleurs...
Par contre, sache que la seule chose dont je veux profiter, c'est de ton cul.
- Mmm et j'adore que tu profites de mon cul....
Allez redevenons sérieux, on arrive, crois moi l'ambiance va être...tendue.

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Pari Gagnant
RomanceRomance érotique gay Lucas a tout pour avoir une vie parfaite, ou presque. Beau, riche, une vie sexuelle épanouie. Le seul hic, sa mère est persuadée que son homosexualité est un mensonge, et elle fait tout pour lui trouver la femme qui fera d'elle...