Chapitre 2 :

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Une fois arrivée au sixième étage j'avance jusqu'au fond du couloir, une fois arrivée devant le bureau de mon père, reconnu grâce à l'étiquette en fer marquée sur ça porte.

J'entends plusieurs voix, alors avant d'entrer j'écoute, je sais que c'est pas bien d'écouter au porte mais c'est pas grave.

-Ma fille arrive dans quelque minute, attendez quelque minute. Au quel je reconnais la voix de mon père.

-C'est quoi, la petite blondasse avec deux couettes ? Des voix d'hommes qui rigolent.

-Je vous laisserais voir de vous même. Dis mon père.

Je décide de toquer à la porte, une seule voix ce fait maintenant entendre.

-Entrez. Dis mon père.

J'appuie sur la poignée en ouvrant la porte en fermant derrière moi, une fois entrée je tombe nez à nez avec 5 hommes bien habillés.

Mon père accompagné de ces hommes je suppose, tout le monde ce retourne ce qui me fait directement me sentir mal à l'aise.

-Ma fille tu est la ! Me dit mon père.

Non non, c'est la voisine ça se voit pas ? Et en même temp je n'ai pas eu le choix.

-Ma chérie, vient à coter de moi je vais te présenter tout les hommes ici présent. Dit mon géniteur.

-J'arrive. Lui répondais-je.

Je m'avance au coter de mon père, sous le regard des 4hommes ainsi celui de mon père.

-Quesque tu as grandit ! Quand je t'ai vu tu n'étais qu'une petite fille est maintenant tu est une jeune femme, oh est tu as toujours cette cicatrice ! Dit mon père.

-Comme quoi une cicatrice ne part pas du jour au lendemain. Dis-je.

-Je te présente, Ayden le tueur à gage, Aaron le deuxième tueur à gage, Julian le dealer de la drogue, et pour terminer Rafaël mon bras droit.

Ayden est physiquement blond au yeux bleu/gris, Arron également blond est aussi au yeux bleu/gris, beaucoup de ressemblance entre les deux ce sont sûrement des frères, Julian lui est brun au yeux vert et pour terminer Rafaël cheuveux brun foncée qui tourne vers le noir, ainsi que ces yeux noir/marron foncé.

Tous sont musclés et tatoués, des mafieux quoi, ils font limites flipper mais le plus flippant de tous c'est Rafaël.

-Bonjour. Dis-je à toute les personnes de cette salle.

-Bonjour. Me répond les 4 hommes.

-Rafaël, Aaron, Ayden et Julian maintenant que ma fille est là je veux que vous aillaient tous l'œil sur elle, mais plus précisément Rafaël, je veux que tu soit pas loin d'elle h24, 7jours sur 7. Dit mon père.

-Papa, je suis plus là gamine de 7ans que tu as connus. Lui dis-je fermement.

-Et moi je garderais pas cette gamine sûrement chiante, j'ai pas signé pour ça. Dis Rafaël.

-Oh moi ça me dérange pas de la surveiller. Dis Julian.

-Pareil pour moi ! Dis Aaron et Ayden.

Pour information je suis toujours la, ils parlent tous comme si j'étais plus là.

-Aucun de vous a le choix, c'est comme ça et pas autrement. Dis mon géniteur.

-Non, j'ai pas signer pour être baby-sitter, c'est hors de question. Dis Rafaël.

-Je vous en pris parler tous de moi comme si je n'étais pas là. Dis-je sèchement.

-Sortez tous du bureau, Rafaël et Moi allons avoir une discussion seul à seul. Dis mon père en visant le concerné.

Tout le monde sort de la pièce, en laissant Rafaël et mon père seul à seul.

Une fois la porte fermé on s'éloigne légèrement du bureau, je me trouve maintenant face avec 3 hommes qui dont 1 têtes de plus que moi ou plus.

-Léna Lucifia, c'est ça ? M'interroge Ayden.

-En chair est en os. En répondant à ça question.

-On t'imaginaient tous comme la petite chieuse avec ces cheuveux blonds à deux couettes. Me dis Aaron.

-Et pourquoi m'imaginer comme ça ? Lui dis-je.

-L'imagination nous surpassent parfois apparemment. Dis Julian en rigolant.

Les 3hommes rigolent pendant que je laisse afficher un sourire sur mon visage pour éviter de rire.

Finalement ces 3 hommes en l'air déjà en plus simpa que l'autre Rafaël.

-C'est fou comme Rafaël as toujours de la chance, déjà que c'est le bras droit de Laurent (le père de Léna) mais en plus il sera tout le temp avec toi. Dit Ayden.

-Je vois pas en quoi il aurait de la chance à être avec moi, mais je pense que je n'ai pas eu de la chance en l'ayant eu. Répondais-je.

-Rafaël est un homme plutôt froid au début mais il s'adoucît avec le temp, on te l'assure. Dis Julian.

-Mouais, mais je suis vraiment pas enchantée au fait qu'il sera toujours pas loin de moi. Dis-je.

La porte s'ouvre, par réflexe on ce retourne tous, on tombe nez à nez avec Rafaël, qui celui-ci n'as aucune expression faciale sur son visage.

Il tourne son regard vers nous, il finit par déposer son regard sur moi, son regard noir meurtrier rencontre mes iris bleus.

-Sois devant l'immeuble dans 10min, je t'attendrais pas une minute de plus j'te préviens. Dit Rafaël.

-Ne t'inquiète pas, je ne voudrais pas te faire attendre. Dis-je

Rafaël part avec ces 3 acolytes, je finis par rentrée dans le bureau de mon père, après tout je suis pas venue juste pour faire décoration.

-Ca fait longtemps que on ne s'était pas vu.

J'ai dit ça exprès, mon père n'avait pas pris de mes nouvelles depuis mes 7ans, et du jour au lendemain il reprend ma garde.

-Oui, ça fait bien longtemps, et tu as bien grandit. D'ailleurs comment va ta mère ?

-Bien, elle as refait ça vie avec un homme très gentil, c'est un bon garçon pour elle, j'en suis persuadée.

Je vois bien que cette remarque du fait que ma mère à refait ça vie l'énerve, mais après tout c'est vrai.

-D'ailleurs, qu'as-tu dit à Rafaël ?

-Rien d'important, en parlant de lui, comme tu as pu le remarquée c'est un de mes meilleurs hommes, c'est donc pour ça que ces mon bras droit, tu n'est jamais a l'abris que un de nos ennemis s'en reprends à toi, alors il se veillera de te surveiller et te protéger, il habitera également dans la même maison que toi pour être sur que rien ne t'arrive, et les 3 autres hommes garderons également l'oeil sur toi mais seulement lorsque tu sera dans cette immeubles en plus du regard de Rafaël. Et Rafaël t'entraînera avec le temp pour que tu commence a avoir de l'attaque ainsi que de la défense.

-Mais papa, je n'ai pas besoin de surveillance, j'ai 17ans si tu est au courant ?

-Bien sûr que je le sais, à tout tes anniversaires je t'envoyais une somme d'argent avec des lettres, au quel tu n'as jamais répondu.

-Tu ne m'en as jamais envoyer, papa. Tu es sûr de ne pas t'avoir tromper d'adresse ?

-Non, est-tu sait pourquoi tu n'as jamais reçu ces cadeaux ? Parce que ta mère les garder pour elle.

-Non, c'est pas possible elle ne ferais pas ça..

-Alors vient ici que je te montre les virement bancaires que je t'avais versé.

Je décide donc de m'approcher de son ordinateur, et oui.. on voit bien les virements bancaires qui on était toujours à la même dates, le 19mai..

Je suis extrêmement déçu de ma mère et de qu'elle as fait.

La fille du patronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant