La fille du patron

Chapitre 8 :

Point de vue de Rafaël :

Ayant des difficultés à dormir il est 1h du mat, je ne sais ps pourquoi mais quelque chose cloche..

Je décide de sortir de ma chambre pour allez dans celle de Léna pour vérifier si elle est toujours là car j'ai un mauvais pressentiment.

Lorsque j'arrive devant ça chambre qui se trouve en face de la mienne j'aperçois que la porte est entre ouverte alors qu'elle est toujours fermée.

Je décide d'entrer sans toquer, une fois entré j'aperçois des coussins à la plage de Léna, elle croyais vraiment que j'allais croire que c'était elle ?!

Cette fille a le sont de me rendre fou, dans plusieurs sens..

Je décide d'appeler Julian, lui est un bon en informatique.
Appel :

-Ohh, mec t'es sérieux de m'appeler à 1h du mat ? Dit Julian.

-Oh s'en bas les couilles de l'heure, Léna a disparu, j'dois vite la retrouvée, t'es bon en info alors fait une géolocalisation sur son téléphone. Dis-je.

-J'te le fait attend un peu.

-Bouge un peu quand même.

-C'est bon je l'ai, elle est as une soirée je t'envoie directement ça localisation.

Je ne lui laisse pas le temp que je lui raccroche au nez, je m'habille directement, je prend mon casque de moto et monte directement dessus.

Je roule à toute allure qui c'est ce qui lui est arrivée.

Une fois arrivé à cette fameuse fête qu'indique ça localisation je la cherche du regard.

Après environ 10min à chercher entre plusieurs fêtard qui boit, qui danse et passons.

Je la trouve enfin, elle est avec un petit groupe de fille, elle ne m'a pas encore remarquer puisque elle entrain de boire dans une bouteille d'alcool, elle est très alcoolisée à ce que je vois.

Et on va pas ce mentir, elle est quand sexy dans cette robe rouge moulante..

Je décide de lui tapoter à l'épaule, les filles de son groupe partent pour nous laisser.

-Oh bah quesque tu fait là ? Dit-elle complètement bourrée.

-T'es défoncée et ta fait le mur, on rentre.

-Nonnn, moi j'ai bu tout petit peu ne t'inquiète pas, et toi aussi ta sûrement déjà fait le mur coquin ! En me faisant un clin d'œil en souriant.

J'affiche un léger sourire quand elle s'approche de moi en déposant ces mains sur mon torse, la preuve qu'elle est compliqué bourrée.

-Tu sait Rafe, ou Rafaël on s'en fou, il y as quelque chose que je sais que tu ne connais peut-être pas.. Dit-elle en souriant.

-Si ça te fait plaisir dit le moi. Dis-je.

-Les yeux ne mentent pas.. je le vois dans ton regard, je suis à toi et je t'appartiens, mais ça veut donc dire que si je suis à toi, toi tu est tout à moi également.. Dit-elle.

-Stop Léna, on rentre t'es complètement bourrée, tu ne fait que de t'enfoncer et tu dit des conneries au quel tu ne va même pas t'en rappeler demain.

-Alors je ferais tout pour m'en rappelai, je ne dis pas des connerie, je le dis simplement grâce au courage de l'alcool qui coulent dans mes veines, je t'aime et tu m'aime et tu sait comment je le sais ? Parce que on le cache tout les deux pour laisser place à une fausses haine.

A vrai tout elle as pas faux, je le cache sous la fausse haine..

-Embrasse moi Rafaël.. Dit-elle.

-Non Léna, tu n'est pas consciente, si on s'embrasse je veux que tu sois consciente et que tu t'en rappelle.

Je la vois souffler et lever les yeux en l'air, on as déjà passés assez de temp ici, je l'attrape en la mettant en sac à patate sur mon épaule droite.

Elle essaye de ce débattre mais sans succès, une fois arrivés devant ma moto je la dépose et je lui accroche mon casque puis on monte sur ma moto.

Je lui dit d'enrouler ces bras autour de ma taille comme la dernière fois, puis on rentrent à la maison.

Une fois rentrés je lui enlève le casque et je l'aide a monter en la portant.

Je l'installe dans son lit en déposant un plaid sur elle, son avant-bras est face à mes yeux.

C'est quand même fou qu'on as presque le même tatouage.. cette fille me rend fou mais ma passionne a la fois, un sentiment jamais vécu mais incroyable..

Je m'installe au bord de son lit en regardant mon téléphone en attendant.

Puis les heures passent, comme je l'ai dis je ne dors pas beaucoup ou je dors normalement très rarement.

Point de vu de retour a Léna :

Je me réveille avec un énorme mal de tête, je me souviens très vaguement de ce qu'il sait passer.

En me réveillant je vois qu'il est 11h, je tourne la tête et j'aperçois Rafaël assis au bord de mon lit entrain de me regarder.

-Quesqu'il sait passer ? Dis-je.

-Tu veut vraiment savoir ? Dit-il.

-Oui, et pourquoi tes assis sur mon lit ?

-D'accord comme tu l'auras voulu, on as fait la total ensemble, si tu savait comme tu crier. Dit-il en souriant.

-Tu ment.. en fin j'espère que tu ment..

-Bien sur que je ment, je t'aurais jamais touchée ou embrasser car t'étais bourrée, même si tu voulait qu'on fasse quelque chose.

Je fronce les sourcils ne comprenant pas, et omg.. je me rappelle de tout.. toute les paroles que je lui est dit, sayez je rougis de gêne..

-Pas la peine d'être gênée princesse, au moins tu te rappelle de tout, mais dans tout ce que tu as dit rien n'était faux. Dit Rafaël.

-Quesqu'il n'était pas faux ?

-Le fait qu'on cache nos sentiments derrière une fausse haine, depuis le premier jour je fais ce faux rôle tu croyais vraiment que je te détestais sans aucune raison ? C'est vrai que je suis froid au début avec des inconnus, mais avec toi depuis le début je te faisais croire que je te détestais, au quel tu as cru mais fini par le découvrir.

On était maintenant debout fasse à la vitre qui donne vu sur la terrasse.