Chapitre 3 :

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Ma mère ma toujours fait croire que mon père ma ignorer alors que tout ça est faux, elle me l'avais cachée.

Dans moins d'1 minute je dois être devant l'immeuble d'après ce que mon « gardien » ma demandé.

Je finit par dire aurevoir à mon père puis je prend l'ascenseur pour allez devant l'immeuble.

Une fois que je suis arrivée j'aperçois les 3 acolytes et Rafaël entrain de terminer leurs cigarettes coincés entre leurs lèvres.

Lorsque ils me voient il écrase tous leurs cigarettes, les 3 acolytes tapotent sur l'épaule de Rafaël et finissent par rentrer dans l'immeuble.

Rafaël avance quelque part alors je le suis, une pipelette avec un qui parle pas, je sens que le trajet va être long.

Moi et mon fort caractère n'arrangera sûrement rien, il m'a quand même traitée de gamine !

On avancent jusqu'à une voiture dans la quel il installe ma valise puis il referme le coffre, me voyant devant la porte passager il prend la parole.

-Monte. Dit-il.

Je ne répond pas puis il se dirige vers la porte conducteur.

-Bouge.

Je finis par monter sur le coter passager pendant qu'il monte sur le coter conducteur. Puis il s'attache et dépose ces mains sur le volant, voyant que je ne m'attache pas il tourne le regard vers moi.

-Attaches toi.

-J'ai pas envie.

-Me casse pas les couilles et attaches toi, j'suis vraiment pas d'humeur.

Voyant que je ne m'attache pas il souffle et ce penche vers moi pour attraper ma ceinture qui est au dessus de mon épaule droite.

Son souffle ce dépose sur mon cou, ce qui me donne un léger frissons.

Il attache ma ceinture et ce remet correctement sur ça place en re déposant ces mains sur le volant.

Maintenant on roulent, depuis 5min aucune discussion a dû lieux alors je tourne le regard sur Rafaël.

Comme je l'avais dis, il as les cheveux brun foncés qui tournent vers le noir, les cheuveux qui tombent sur son front.

Ces yeux exactement de la même couleur que ces cheuveux, d'ailleurs plusieurs tatouages, dans son cou, ces bras, ces mains. D'ailleurs je dis ces bras car ces manches sont remontées jusqu'à ces coudes.

Je suis certaine qu'il y as également d'autres tatouages mais 1 m'interpelle.

Sur son avant-bras gauche ce trouve un tatouage, un serpent enroulé d'une croix et d'une rose.

Presque comme le miens seulement La Croix qui les différencie, ça chemise blanche fait ressortir ces muscles mais une voix m'enlève de mes pensées.

-Ta fini de me mater ?

-Je te mate pas.

-Si.

-Non.

-Si.

Je détourne la tête en regardant le paysage.

-On va où ? Dis-je.

-Ton père te la pas dit ?

-Si je te pose la question c'est que j'ai pas la réponse.

-Mais c'est que ta du caractère, on va allez dans l'habitat ou je vais devoir te supporter.

-Je tient à te préciser que je vais aussi devoir te supporter.

-On est arrivés.

C'est vrai, je n'en mettais même pas rendu compte, on descend de la voiture, je prend la valise qui est dans le coffre pendant qu'il déverrouille la porte.

J'entre derrière lui, la maison est très luxueuse, énorme de blanc est d'espace ainsi que de pièce.

D'ailleurs en m'en rendant compte Rafaël est très grand, je dirais 2 têtes de plus que moi..

-Garde tes affaires avec toi je vais te faire visitez.

-Hum, d'accord !

Je prend ma valise et il me montre chaque pièce, ça chambre ce trouve juste en face de la mienne qui se trouvent à l'étage.

Je dépose ma valise dans ma chambre, ça voix m'interpelle.

-Pourquoi esque tu doit me surveiller ? En restant debout face à mon lit.

-Pour la simple raison que ton père est le chef de la mafia italienne est qu'as tour moment une mafia ennemis débarque pour te chopper pour atteindre ton père, ça fait même pas 1 heure que on est dans le même habita que tu me bombardes de question qui me font mal à la tête.

-Et pourtant tout vient de commencer, bonne chance tes tombé avec une pipelette !

-Ouais bah commence pas à me monter les nerfs, parce que je rigole même pas. Dit-il en prenant un air sérieux.

-C'est dommage, tu compte éclater tes nerfs au bout de combien de temp ? En le narguant.

Sans m'y attendre, je suis plaquée contre le mur de ma chambre avec la main de Rafaël dans mon cou, en croisant son regard ténébreux.

-À toi de me le dire ? Esque tu pense que tu arrivera à me faire péter les plombs avant que je te fasse péter les plombs ? Tu voit ça ? Il suffit tout simplement que j'appuie sur cette gâchette est ta cervelle explose. En me montrant son pistolet qui se trouvait dans ça poche mais maintenant dans ça main libre.

Il sert ça main autour de mon cou de plus en plus fort, lorsque son regard tombe sur mon cou derrière mon oreille ce qui lui vaut un sourire.

-C'est quoi ça ? Dit-il en relâchant mon cou en désignant mon tatouage tout en souriant.

-C'est un noeud.

-Quoi pour montrer ton côté tordue ? En rigolant.

-Ça serait plutôt l'inverse pour le « côté tordu », et c'est un noeud en huit connard, c'est le noeud le plus résistant pour mon côté fort par qu'il est plus difficile à défaire !

Face à la phrase il se met à rigoler en rigolant.

-Quesqu'y t'amuse ? Dis-je.

-Ça m'étonnerait que tu soit « forte ».

-« Forte » ne veut pas dire sensible, salo.

Il sort de ma chambre en rigolant, si en même temp il pourrait mettre son arme dans son cul pour ce calmer ça m'arrangera, son rire que j'ai envie de lui arracher est insupportable.

C'est d'ailleurs bizarre qu'il n'est pas réagis face à mes insultes, mais il était tellement dans son délire qu'il ne s'en est pas rendu compte.

Je fini par installer toute mes affaires dans ma chambre, une fois que tout est installés je prend mon pc portable est m'installe dans mon lit.

Je me met le ventre sur mon lit en regardant une vidéo YouTube que mon lit.

La fille du patronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant