Déni brutale

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Le jour fatidique est venue. C'est là que nos chemin se séparent. Pour le mieux comme pour le pire.

C'est le genre d'événement inévitable dans une vie.
C'est un voyage, une aventure. Qu'on fait malheureusement seule aujourd'hui.

Ils sont partis. Pour de bon.

Des que les portes du camions se sont fermés. C'est trop tard.

Ils ne reviendront plus.

Ils s'en vont pour un renouveau. Laissait leurs vieux souvenirs derrière.
Et me laisser avec.
Car après tout maintenant j'appartiens plus qu'à leurs passé.



Je ne suis plus qu'un simple souvenir.

Tout est finie.

Je resserrer mes poings pour ne pas pleurer maintenant. 

Pas ici, pas maintenant. Je ne veux pas qu'ils partent en me voyant juste.. pleuré.

J'ai la gorge nouée, j'ai envie d'éclater, de pleuré de crier au monde entier que c'est dur. Que sa fait mal, c'était comme si on me plantait un couteau en plein coeur. Qu'on m'arranchait un parti de moi.

C'était douloureux. 

Sa me révoltait.


Ma vision de troublait. Je les voyais nostalgique, excité, heureux de commencer leurs nouvelles vie.

Ils partent sans plus de soucier de moi.

Ils partent sans moi.

 
Ils partent sans plus de soucier de nos rêves et de nos promesses.


Ils franchisaient une nouvelle étape dans leurs vie.


Ils cassait la routine qu'on s'était crée.



Mon corps frisonnait, tremblait ne sachant faire de ces émotions, ne sachant les gérer ou les mettre.

Il me laissait seul dans cette enfer. Comment dois je le prendre?

Je voyais ce camion.

 Ce voleur.

 Il n'avait pris les gens que j'aime. 

Je lui en voulais terriblement.







Il tournait au bout de la rue. 

Je vis la scène au ralenti, je me rappelais de tous mes moments avec eux.

Des moments de joie, de peine, de disputer surtout. Jamais rien de grave.

Mais ils se disputent tellement pour un tout et un rien que même moi je n'avais pas oser comptée de fois on ils se sont chamailler.

Ils étaient sympathique.








C'était mes amis avant tous.


Je voulais comme tout autre amis qu'il puisse être heureux.











Je sais que c'était un sentiment plus qu'égoïste qu'autre choses. Que ce n'était pas moi qui devrait les forcé à rester ici.



C'est vrai, sa leurs changerait la vie il serait loin maintenant de tous leurs problèmes. Ils sont deux ils pourront rapidement tous reconstruire.

C'est pas cela qui va les arrêter.

Je rigolais nerveuses.











Le camion était parti.









Ca y c'est fini.

Tous ces belles années passaient ensemble sont révolu.

Tous ça n'est plus que passé.

Oh croyez moi que j'aurais voulu rester dans le déni plus longtemps. J'aurais voulais espérer qu'ils restent.





Ma mère me regarde, me prenais en pitié.
-Mooooh mais tu sais mon chéri tu pourrais toujours les revoir et faire des appels en face Time ! C'est des fois pratique ces nouvelles technologies. Aaah que j'aurais aimé avoir sa de mon temps.



Tu parles les relations à distance c'est tellement fragile. Jamais on n'arrivera à en tenir une.
C'est totalement absurde, elle sait pertinemment que je ne les reverrais plus. Alors pourquoi ce mensonge me soulage quand même. J'ai beau savoir la dure vérité.





-oui murmura je.

J'aimerais tellement y croire.


Juste une fois encore.




Un petit peu.

Juste les revoir tout les deux un jour. 

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[30/08/
533mots]

Ce qu'il ne sait pas encore c'est qu'il les reverra au lycée.. 

C'est cadeau, c'est un indice de plus !

Bye !!

Recueil d'osOù les histoires vivent. Découvrez maintenant