Simplement des mots

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Les mots bougeaient, tournoyaient, dansaient

Écrivait le début d'une nouvelle histoire sans même connaître la fin.

Ils écrivaient encore et encore.

Sans prendre conscient du temps qui passait

Ils s'emboitant,
s'assemblaient,
se rassemblait pour formé une phrase.

Ainsi ces mots pouvait prendre vies à travers ces phrases et construire son future.

Tous, n'ayant qu'un seul but, une seule raison à leurs venues, ancré au plus profond d'eux.

Tous différents mais au ressentie si similaire. Ils étaient ensemble, unis, à tout jamais. Et partageait maintenant leurs places et leurs but.

L'encre étais enfin posé, ainsi, rien ni personne ne pourrais l'effacer.

Ils laisserait une trace indélébile pour le meilleur comme pour le pire.


Car ce qui est une certitude, ce que les mots blesse bien plus qu'on ne pourra l'imaginer.

Ce sont des flèches bien plus aiguisées que n'importe quels autres couteaux de ce monde.

Ils sont vicieux, te conditionné pour pensé ce qu'ils veulent.

Ils sont puissants, il leur en faut peu pour te blesser. Plus que tu ne peux le pense.


Une blessure qui va droit au cœur.


Une blessure inévitable, contre laquelle
il n'existe aucun rempart.

Ils sont dur et invaincus

Ces sont les mots.

Pourtant si facile à dire.
Si facile à aligner.
Si facile à utiliser.

Si douloureux à voir.
Si douloureux à entendre.
Si douloureux.




Il était dans le coin de cette petite pièce regardant les carreaux blanchâtre devant lui.

Les yeux fixés sur ce miroir, le dégoût le traversait.

Voir son visage, son corps, sa maigreur, sa grande taille, ses larges épaules, son physique que les autres adorait.

Lui il n'en pensé pas un mots de leurs compliments.

Ils étaient faux.

Les siens aussi.


Il fixait ce miroir, n'avait qu'une envie, l'écarter en mille morceaux.








Il le vit.

Il se mis sur ces genoux difficilement pour l'atteindre.

Pour le toucher.

Pour apaisé son cœur.

Pour écrire tout ce qu'il lui passait par la tête.

Ces mots,

ces phrases,

ces sons,

devenue ces pensés.

Qui le hantait.

Le détruisait de l'intérieur.



.
.
.

Il regarde de ces beau yeux noisette sa nouvelle création.
Sur cette page autrefois blanche, des mots écrits dans tous les sens.

Partout.

Il les regardait. En se laissant glisser lui aussi, n'ayant plus la force de se tenir debout.

Ils dégouilliait sur dans les joints des ces carreaux autrefois blanc.

Il souriait bêtement. Contemplant sa création.

Ne sachant pas s'il devait en être fier.

Ne sachant pas s'il devait se laisser aller.




Il était si bien à ce moment où plus qu'une seule pensée avait envahissant son esprit.

Une pensée, un appel, un mal.

Rien d'autre il se sentant si léger, si loin de ce monde entre réalité et fantaisie.








Son corps le brûlait.


Tellement qu'il finissait par ne plus rien ressentir.

Mais il était ravit.

Un plaisir malsain.

Un plaisir honteux,

Une sanction,

Une erreur,

Un mal pour un bien.

Car au finalement il ne blessait plus personne maintenant.

Plus personnes. Pas même son ami d'enfance, cette personne qui lui avis tellement donné.

Qu'il a détruit si simplement. Il lui avait fait tellement de mal.

Un mal qui ne pourrait rétablir

Un mal qu'il ne pourrait pas égalé.

Il souria bêtement, il était minable. Il ne s'était jamais senti aussi minable qu'il pourrais en mourir.

Ses cheveux noir très décoiffé, ses yeux gonflé, son faux sourire plaqué sur son visage.


Le miroir le reflétait ce jeune homme délaisser par la vie, seul au beau milieu de la foule acclamant son sourire.

[580mots]

Recueil d'osOù les histoires vivent. Découvrez maintenant