The Challenger

Chapitre 7

PDV Cameron :

Wow c'est vraiment un canon ce soir elle est sublime, après toutes ces années elle continue à s'embellir et à être encore plus belle que la semaine précédente, quand je l'ai vue tout à l'heure à la salle de sport dans son legging moulant ses formes a la perfection, j'ai cru devenir fou. Comment j'ai pu passer à côté de cette merveille tant d'année ! J'étais tellement stupide à l'époque ! Cette robe laisse imaginer assez de choses à tel point que je ne pense pas réussir à me lever de toute la soirée du moins pas si elle ne cesse de me fixer avec ses yeux émeraude. Cette fille me donne la trique comme pas possible. Dès que je suis en sa présence je me sens obligé de la charrier, de lui lancer des piques parce que sinon je vais péter un plomb, en sa compagnie je suis une boule de nerf prêt à exploser.

- Tu es de toutes beautés ce soir ! s'exclame mon meilleur ami assis à côté de moi

- Merci James je peux dire de même de toi !

Elle reprend le fil de la conversation avec Jamy pendant que je garde le silence la regardant comme une proie prise en chasse. Lorsque les plats arrivent, j'ai commandé des sèches à encre noir, Slown à commander une fricassée de noix Saint-Jacques aux champignons de Paris et Jamy a commandé un magret de canard aux patates douces et cacao. Durant le repas de nombreux jeux de regard se font entre Slown et moi, une sorte de tension c'est installé et je ne peux contrôler ma énième érection.

Elle l'a vu ! Elle a vu mon érection, ça lui plaît, j'en suis sure ! L'air qui passe sur son visage est maléfique, ambitieux, ses yeux sont pleins de défis. Elle fait glisser sa main le long de la cuisse, des fourmillements parcours mon corps, elle remonte encore jusqu'à l'embrasure de mon pantalon, elle fait glisser sa main sur ma bosse, qui grandi à vue d'œil, la commissure de sa bouche se relève lentement en un rictus pendant qu'elle parle avec James, je ne peux faire semblant que tout aille bien j'ai le membre en feu, mon pantalon se fais trop petit. Elle accroit la cadence et je ne peux garder mon bruissement pour moi, lorsque je m'en rends compte la main de Slown a déserté, James quant à lui me regarde fixement ne comprenant pas la raison de mon bruit. Je m'empresse de manger mon plat de sèche et le fini instantanément, m'essuies la bouche et m'éclipse vers les toilettes. Après m'être rafraîchie le visage et avoir attendue que ma tension redescende un peut. Je vois la porte principale des WC s'ouvrir et c'est avec étonnement que je croise le regard de Slown. Je n'y crois pas ! Elle a osé ! Elle est là dans les toilettes pour homme, dans cette sublime robe noire qui lui arrive à hauteur de cuisses. Dès lors qu'elle me voit, elle se retourne face à la porte qu'elle vient de passer pour tourner le verrou. Je me retourne à mon tour pour mieux la contempler, lorsqu'elle tourne les talons, elle me surprend. Il suffit d'un seul regard pour me redonner envie de lui sauter dessus. Je m'approche à vive allure, la plaque contre le mur derrière elle, ses yeux dans les miens je pose ma main sur sa cuisse et la remonte jusqu'à l'ourlet de sa robe,

- Pourquoi me chauffe tu ?

- Qu'est ce qui a je t'excite toujours autant qu'avant c'est ça ? demande-t-elle innocemment

Je remonte encore et empoigne sa fine culotte et tire dessus. Le bruit de l'étoffe qui rend l'âme raisonne dans le silence. Elle pousse un petit cri de stupeur étouffer par mon épaule. Une fois le tissu entre mes doigts je le range dans la poche intérieure de ma veste.

- Tu sais très bien ce que tu me fais ressentir et je sais tout aussi bien que tu ressens la même chose pour moi.

Elle pousse un juron en me sentant s'insérer en elle, jusqu'à l'emplir, plus je fais de mouvement avec mes doigts plus elle gémit fort. Les pointes de ses seins se dressent. Mon cerveau me crie de repousser ma main de cet endroit qui à l'époque me paraissait si familier, mais ni elle ni moi ne prononçons le moindre mot. Nos respirations et le bruit sourd du restaurant à côté, brisent le calme des toilettes. Ma poitrine monte et descend, ma respiration est rauque. Mes yeux ne la quittent plus. J'attends qu'elle m'arrête, ce qu'elle aurait pu faire il y a déjà quelques minutes, me repousser, ou simplement tourner les talons et me fuir.