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*** Pendant ce temps où se trouvent Oumou Salama et M. Diallo Younouss ***

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elle le retrouva plonger sur des documents dans sa chambre

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Oumou Salama : M. Diallo est-ce qu'on peut parler

M. Diallo : oui mais si c'est à propos de Youssouf, je ne veux rien entendre

Oumou Salama : c'est pourtant vous, son père non

M. Diallo : oui et ce que j'ai à régler avec mes fils, je le fais directement, ce sont des hommes maintenant pour vouloir s'ingérer dans leur vie

Oumou Salama : hum

M. Diallo : lorsque je t'avais demandé si tout va bien, tu m'as dit oui

Oumou Salama : c'est parce qu'on ne voulait pas vous inquiéter

M. Diallo : c'est toi qui avait fait en sorte d'éviter les choses alors qu'en réalité, tu les avais juste retardé, te croyant caché de moi maintenant assume les conséquences de tes actes

Oumou Salama : quelles choses ?

M. Diallo : lorsque je t'avais appelé pour te dire de me laisser le convaincre afin qu'il épouse Karimata, tu m'avais poignardé dans le dos non.

- C'est vrai que ceux que nous connaissons faisaient tout pour ne pas que ça n'arrive mais toi, tu as prit les devant soi-disant qu'il ne doit pas avoir une femme qui la domine, comme si c'était un crime de se comprendre avec son épouse.

Oumou Salama : hum

M. Diallo : oui, je sais tout Oumou Salama et lui Youssouf aussi qui a été retenu par Alhassane pour ne pas te réclamer alors un bon conseil, méfie-toi

Oumou Salama : monsieur Diallo, je n'avais pas prévu cela

M. Diallo : oui donc maintenant assume ton égoïsme, c'est ton fils et tu l'aimes plus que moi

Oumou Salama : hum

M. Diallo : si tu n'as rien d'autre à me dire, vas-y !

***

*** Un peu plus tard où se trouve Karimata ***

son état stabilisé, échappant de justesse à une fausse couche. Alhassane entra à l'intérieur accompagné d'une infirmière qui ressortit de si tôt

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Alhassane : ça va mieux ?

Karimata : oui, merci

Alhassane : normal, Haroun est en ligne

Karimata : d'accord

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il lui passa le téléphone pour ressortir

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- allô !

Haroun : djaadja, comment te sens-tu ?

Karimata : Dieu merci, reste tranquille

Haroun : j'ai parlé avec le médecin tout à l'heure, il faut que tu te reposes

Karimata : oui, il me l'a dit

Haroun : essaie de te calmer, ça passera, hunh

Karimata : oui, c'est toi qui avait demandé à bappa Younouss de m'appeler ?

Haroun : non mais il m'avait dit hier au téléphone le faire ce matin

Karimata : d'accord

Haroun : djaadja

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