*** un peu plus tard, Adama Hawa Barry ***
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informer de la nouvelle, elle se mit à pleurer jusqu'à se calmer puis elle appela Djalikatou, se saluant avec Oumou en premier qui la lui passa ensuite, elle lui semblant un peu trop calme à son goût
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Adama Hawa : Djalikatou, c'est moi
Djalikatou : Oumou est partit, Adama Hawa
Adama Hawa : courage, on ne peut rien contre la volonté de Dieu
Djalikatou : oui, maintenant je n'ai plus aucun lien avec vous
Adama Hawa : hum
Djalikatou : je vous laisse Fatima que je ne veux plus jamais revoir de ma vie
Adama Hawa : ne dis pas ça et calme-toi
Djalikatou : je suis très calme, tu ne l'as pas sentit
Adama Hawa : oui
Djalikatou : tu sais que ton frère aurait pu perdre deux enfants aujourd'hui
Adama Hawa : hum
Djalikatou : (riant) waayi, éh Djalikatou !
Adama Hawa : Djalikatou, résiste je t'en supplie
Djalikatou : je n'ai plus la force Adama Hawa, j'ai envie de mourir
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pleurant toutes les deux puis,
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- si ta soeur ne savais pas se défendre, elle serait déjà morte à l'heure qu'il est. J'ai essayé deux fois de la tuer avec son bébé aujourd'hui, tu peux le croire ! Oui, moi-même Djalikatou !
Adama Hawa : hum
Djalikatou : oui, et je ressens encore son étranglement, elle aurait pu tuer moi aussi
Adama Hawa : hum
Djalikatou : peut-être que tu ne voudras plus me parler, j'ai mal agis je le sais et je ne sais pas ce qui m'a prit Adama Hawa, billaye !
Adama Hawa : je ne te tournerai pas le dos Djalikatou, tu vas le surmonter
Djalikatou : je viens de te dire .
Adama Hawa : que tu as essayé à deux reprises de tuer djaa Karimata, j'ai entendu
Djalikatou : hum
Adama Hawa : mais la Djalikatou que moi j'ai connu, n'en aurait jamais été capable
Djalikatou : il faut croire que tout le monde change, voici mon côté obscure.
N'est-ce pas que tu n'as pas oublié qu'un jour on nous l'avait dit, on revenait de l'école, le monsieur que nous avions rencontré, on était avec Safaou Sow !
Adama Hawa : chacun en as, c'est l'être humain qui est comme ça
Djalikatou : tu te rappelles de ce qu'il avait dit ou pas, toi ripostant que je n'ai aucun problème
Adama Hawa : je n'ai pas oublié
Djalikatou : je vais te conter ce qui s'est passé à l'hôpital, comme ça au moins si tu entends que j'ai été en prison, tu connais la raison car connaissant ta soeur, elle ne laissera pas hein !
Je n'ai pas oublié ce côté d'elle lorsque nous étions au lycée, lorsqu'elle affrontait même les kötö pour nous défendre y comprit
Adama Hawa : oui mais tu ne la connais pas aussi bien, elle est sévère certes mais pas méchante

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Nous !
General FictionOn dit qu'aimer fait souffrir, que là où il y a Amour il y a larmes mais aussi bonheur le plus souvent tout dépend .... Lisez pour en savoir plus