! Bonne lecture !
*** Djalikatou ***Toujours avec Youssouf en visite, elle voulant le serrer dans ses bras mais résistant, plus encore que la distance de ce dernier était plus que flagrante.
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Youssouf : j'étais juste passé prendre de tes nouvelles, te souhaitant bonne suite
Djalikatou : oui, merci d'être passé
Youssouf : (sourire léger) oui
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Tout en se levant
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Djalikatou : vous pouvez dire à kötö Alhassane que notre cousin Maadiou passera le voir à la maison
Youssouf : je lui dirai
Djalikatou : vous direz bien de choses à djaa Thierno Karimata de ma part
Youssouf : je lui dirai mais je crois qu'elle aurait préféré le Karimata tout simplement. Tu m'appelles Youssouf ou encore Alhassane, Haroun ou encore tes frères
Djalikatou : c'est vrai
Youssouf : Néné dit qu'elle passera te voir demain, j'ai failli oublié
Djalikatou : yayé Mouminatou ?
Youssouf : oui
***
Une fois ce dernier parti, la femme de son oncle sortit la trouvé au salon
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- il ne te reprendra pas, ne te nourri pas de faux espoirs.
Djalikatou : je ne me fais pas d'illusion tantie
- ça serait bien en tout cas et sois déjà heureuse d'avoir la chance qu'ils continuent à s'occuper de toi parce que beaucoup ne l'auraient pas fait
Djalikatou : hum
- tu sais très bien alors concentre-toi sur ce que tu fais et essaie de passer à autre chose, n'oublie pas Fatima
Djalikatou : je ne l'oublie pas
- je le dis pour ton bien en tout cas !
Djalikatou : oui
***
*** Youssouf ***
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Dans la voiture, sur le chemin de retour, devant bouger sous peu pour rentrer au Canada.
Arrivé dans la cour, tout en descendant de la voiture, il reçu un appel de son appel de son ami Bademba Ly qu'il se pressa de décrocher
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Bademba : comment va chef ?
Youssouf : Dieu merci monsieur Ly et toi ?
Bademba : Dieu merci, je viens de rentrer de l'hôpital
Youssouf : de l'hôpital, tu veux dire...
Bademba : des fausses contractions pour l'instant mais comme tu sais que parfois les enfants peuvent arriver à l'imprévu
Youssouf : hum, je suis encore loin
Bademba : je sais qu'on vous avait dit à partir de la semaine prochaine mais tu sais comment ça se passe
Youssouf : oui, comment va-t-elle ?
Bademba : supportable, Barratou est avec elle, à la maison
Youssouf : d'accord, je vais l'appeler elle Barratou alors
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Nous !
General FictionOn dit qu'aimer fait souffrir, que là où il y a Amour il y a larmes mais aussi bonheur le plus souvent tout dépend .... Lisez pour en savoir plus