Salutations, désolée pour la longue absence, comme toujours le temps ne joue pas en ma faveur !
*** Djalikatou ***
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Toujours en train de discuter avec son mari qui se mit à la regarder un long moment avant de dire.
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Ibrahima : je crois que tu devrais accorder du temps à ta fille, votre relation n'est pas tellement alors essaie d'y remédier sinon un jour tu risques de le regretter
Djalikatou : oui
Ibrahima : je vous ai observé et ce n'est pas bien comme ça, elle n'a pas à payer pour vos erreurs, son père fait déjà sa part Djalikatou
Djalikatou : oui
Ibrahima : j'irai les cherché finalement, je me prépare pour sortir
Djalikatou : d'accord, vous savez si les autres aussi viendront ?
Ibrahima : lesquels ?
Djalikatou : les enfants de djaa Karimata ?
Ibrahima : c'est ce qu'elle m'a confirmé, ce que je t'ai dit hier
Djalikatou : (souriante) d'accord
Ibrahima : je suppose qu'il y'a eu un précédent entre vous pour me le demander
Djalikatou : une cohabitation n'est jamais facile
Ibrahima : je croyais qu'elle vivait à Dakar à l'époque, je connais bien Haroun qui est très ami avec Mariam Baldé
Djalikatou : oui
Ibrahima : je vais me préparer
Djalikatou : qu'est-ce que vous voulez pour le petit déjeuner ?
Ibrahima : ta soeur s'en était occupée avant de sortir, je croyais qu'elle te l'avait dit hier
Djalikatou : oui mais je croyais que je devais voir avec les filles
Ibrahima : elle l'a préparé avant de sortir, comme d'habitude
Djalikatou : d'accord, merci à elle (dit-elle tout bas)
***
... Quelques heures plus tard ....
les enfants à la maison y compris ceux de Alhassane et de Oumou Salama, elle bien qu'essayant de se rapprocher de sa fille constata le contraire au niveau de cette dernière alors elle finit par l'appeler dans la chambre.
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Fatima : Néné, je suis ici
Djalikatou : viens, entre
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ce qu'elle fit, se contentant de s'assoir sur le tapis étant toutes les deux dans la chambre, son mari avec les autres dans la cour, les enfants de ce dernier y compris
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- tu m'évites Fatima ?
Fatima : non
Djalikatou : j'ai pourtant l'impression que tu me fuis Fatima
Fatima : hum
Djalikatou : tu ne me dis rien, même quand j'appelle là-bas, juste me saluer et un ça va
Fatima : je vais bien Néné, ils sont tous très gentils avec moi, je vous l'ai déjà dit
Djalikatou : je le sais, je n'ai aucun doute qu'ils prennent tous bien soins de toi
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Nous !
General FictionOn dit qu'aimer fait souffrir, que là où il y a Amour il y a larmes mais aussi bonheur le plus souvent tout dépend .... Lisez pour en savoir plus