*** Où se trouve Ibrahima Baldé ***
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perdu dans ses pensée jusqu'à ce qu'une main le touche, celle de sa femme
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Ibrahima : hunh !
Mariam : je demandais si tu veux manger avant de te laver
Ibrahima : non !
- (calmement) Mariam !
Mariam : hum
Ibrahima : assied-toi, qu'on parle
Mariam : d'accord (s'exécutant)
Ibrahima : tu comptes me quitter, tu comptes te chercher un autre mari ?
Mariam : j'ai déjà un mari
Ibrahima : tu comptes me quitter alors, c'est pourquoi vouloir t'éloigner de moi ?
Mariam : non je ne comptes pas te quitter à moins que je ne le vois en toi, dans ce cas là, je demanderai ma liberté sans attendre et tu seras obligé de me la rendre grand frère
Ibrahima : hum
Mariam : hum
Ibrahima : continue de rêver, tu sais que ce n'est pas possible ou bien tu as oublié ce qui avait été dit lors de notre union
Mariam : puisque tu le mentionne, il avait été dit beaucoup de choses
Ibrahima : je te maltraites Mariam, je ne prends pas soin de toi ?
Mariam : tu ne fais pas ton devoir comme il se doit, reconnait le
Ibrahima : pardonne-moi alors, je vais rectifier mes erreurs
Mariam : on verra bien
Ibrahima : donc je suis même devenu un menteur à tes yeux
Mariam : je ne l'aie pas dit mais ce que tu viens de dire est à voir !
Ibrahima : tu sais que tu ne peux pas prendre la décision d'aller vivre ailleurs sans m'en parler au préalable encore moins sans mon accord
Mariam : je le sais
Ibrahima : c'est pourtant ce que tu es en train de faire là car même si on en a parlé il y'a quelque temps, ce n'est pas à l'ordre du jour.
- On s'était dit en rediscuter pour voir ce qui convient le mieux, principalement pour les enfants.
Mariam : je n'ai pas décidé d'aller m'installer ailleurs bien que j'y pense et combien de fois j'ai demandé à te parler ces temps-ci, toi me renvoyant toujours à plus tard
Ibrahima : je m'en excuse
Mariam : hum
Ibrahima : ne te fâche pas, je reconnais t'avoir négliger
Mariam : Dieu merci alors !
Ibrahima : tu comptes vraiment t'éloigner de moi, mes enfants aussi
Mariam : ça ne devrait pas te déranger
Ibrahima : (rire léger) tu es vraiment folle, toi.
Mariam : je l'accepte
Ibrahima : supposons qu'on tombe d'accord, on fait comment, tu as pensé à moi ?
Mariam : tu iras nous voir quand tu pourras, pour ne pas dire nous, vu le prix des billets
Ibrahima : Mariam, tu ne trouves pas que tu es quand même injuste avec moi
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Nous !
General FictionOn dit qu'aimer fait souffrir, que là où il y a Amour il y a larmes mais aussi bonheur le plus souvent tout dépend .... Lisez pour en savoir plus