Nous !

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*** Un peu plus tard, Youssouf ***

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couché avec sa femme, tête de cette dernière par dessus de son torse

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Youssouf : ça va, tu te sens un peu plus à l'aise ?

Karimata : oui beaucoup, merci

Youssouf : Dieu merci, c'est bon à entendre

Karimata : hum

Youssouf : alors madame, je ne suis qu'un frère pour toi ?

Karimata : (sourire) non, toi-même tu le sais

Youssouf : savoir quoi ?

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souriant à son tour tout en lui caressant le visage

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Karimata : que je t'aime

Youssouf : je t'aime aussi

Karimata : (souriant) hum

Youssouf : c'est la vérité que je te dis

Karimata : moi aussi

Youssouf : je n'en doute pas

Karimata : hum

Youssouf : tes contractions sont passées ?

Karimata : oui

Youssouf : je crois que c'est dû au plaisir intense de tout à l'heure

Karimata : oui

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elle se blotti plus dans ses bras caressant son torse tout en le sentant

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Youssouf : tu ne veux pas me libérer pour les enfants madame, je vais passer un peu de temps avec eux avant qu'ils ne s'endorment (avec un baiser)

Karimata : oui, bien sûr

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il la renversa avec grand sourire qu'elle le rendit

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Youssouf : plus tard, tu pourras faire tout ce que tu voudras de moi, tranquille

Karimata : oui, j'arrive aussi

Youssouf : mets le t-shirt que je portais sous ma chemise, ça te fera du bien

Karimata : oui

***

Pendant qu'il était avec les enfants, il en profita pour appeler Djalikatou qui se salua avec eux pour ensuite lui passer sa fille qui parla avec ses derniers avant qu'il ne la reprenne

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Youssouf : tout se passe bien avec eux j'espère ?

Djalikatou : oui, ça va

Youssouf : d'accord, je te laisse, bonne nuit

Djalikatou : oui, bonne nuit (raccrochant)

***

il rappela son frère qu'il avait eu en double appel

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Youssouf : Papa, comment allez-vous ?

Alhassane : Dieu merci Baaba et vous ?

Youssouf : Al-hamdoulillah

Alhassane : Karimata, va bien ?

Youssouf : bien merci

Alhassane : c'est une bonne nouvelle, ça lui fera du bien de t'avoir à côté