Chapitre précédent :
Bakugo : Tu te sens comment ?Tp : Hormis une petite migraine ça devrait aller.
Bakugo : Hum ok. Je vais te laisser. Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésites surtout pas.Il se leva et se dirigea vers la porte. Tu le vis quelques secondes devant cette même porte sans l'ouvrir. Il se frotta la tête et murmura de faibles mots avant de se retourner d'un pas décidé vers toi et se pencha.
Bakugo : Je crois que la conversation de la dernière fois n'est pas terminée. On la continuera donc dehors.
Tu voulais lui répondre qu'il te fit une pichenette et te traita d'idiote. Puis, il te laissa te frotter le front pour sortir de ta chambre. Un petit sourire se fit sur ton visage.************************
-POV Narrateur-Enfin, préparé pour la sortie d'aujourd'hui,tu pris ton sac et sortis de ta chambre. Tu descendis les escaliers aveclenteur, causé par ta migraine qui ne voulait pas s'arrêter. Avant de rejoindreles autres à l'extérieur, tu pris un petit sachet de gâteau et un jus en briquedans la cuisine. Tu savouras ces magnifiques créations de l'Homme pendant tonpetit trajet de la cuisine jusqu'à l'extérieur de l'internat.
Arrivé au lieu de rendez-vous, turegardas ton téléphone pour vérifier l'heure. Comme toujours tu étais enavance. Ton sachet de gâteau finit, et par une flemme de refaire unaller-retour, tu envoyas un message à la rose pour la missionner de te ramenerun autre paquet « stp ma petite limace 😘 ».
Tu vis une touffe verte sortir del'internat avec un robot pas très en forme. Évidemment, avec une nuit fortechargée sur le groupe. S'il y avait bien une chose que tu ne pouvais pascontester chez lui, c'était son grand sens des responsabilités en tant quedélégué. Avec une classe pareille, tu les aurais déjà tous tué ou ligoté. Maisbon, tu n'étais pas présente l'année dernière et toute la classe avaitredélégué cette place à Iida. Tu souris en imaginant les autres comprendre ledur labeur d'être délégué dans cette classe. Ce n'était pas de tout repos. Tuas bien eu une proposition de le devenir. Tu déclinas très vite cette offre. Endeux semaines de vie de classe, tu avais bien compris que certains n'auraientpas fait long feu avec toi.Le petit groupe de la dekusquad te vitsourire toute seule en les regardant sortir. Midoriya, par simple habitude, teretourna ce sourire accompagné d'un petit coucou de la main. Tu lui fis, alors,également un petit coucou de la main. Tu trouvais ça adorable et très enfantin.Il s'approcha de toi pour te parler de divers sujets mais surtout de son alter.Il profita de ta disponibilité. Cependant, ça ne plaisait pas à une certainepersonne. Tu la vis avec une petite grimace. Alors, pour désamorcer cemicro-problème de jalousie, tu fis un signe à Tsuyu. Tune savais pas ce qui s'en suivait puisqu'une certaine personne était bien trop passionnée de votre discussion.
Les minutes passèrent, tu continuas de converser avec Midoriya ou plutôt de le taquiner. Chose que tu aimais beaucoup. Tu savais pertinemment qu'il en était très réceptif. Et lui, savait très bien qu'il n'y avait aucune malveillance venant de toi. Et comme à chaque fois, tu finis par rire de ces réactions. C'était bon enfant entre vous deux et ça te faisait du bien de pouvoir de nouveau rire avec lui.
Or, une certaine personne ne fût pas du même avis. Tu parlais aussi facilement comme-ci, les deux semaines sans parler à quiconque n'avaient jamais existé. En réalité, il était bien conscient du blanc entre vous. Cette situation l'énervait. Et donc, pour que les choses s'arrangent entre vous, il prit les devant pour avancer le troupeau d'idiots. Mais, surtout pour te séparer de Izuku. La deuxième chose qui le mettait sur ces gonds, c'était sa réaction en vous voyant tous les deux. Oui, il était actuellement jaloux. Le troupeau de classe le suivait jusqu'à l'arrêt de bus.
Arrivé sur place, chacun se séparèrent en petit groupe. Voulant passer du temps avec la Bakusquad, tu allas les rejoindre. Hagakure n'était pas du même avis et te pris par le poignet. Toru, Shitty et toi allèrent vers un magasin pour vous acheter de magnifiques lunettes de soleil. Après ce petit contre-temps, tu les rejoignis dans un magasin très à l'écart, afin d'éviter une personne indésirable.
Avec Mina et Kyoka, vous vous dirigez vers les maillots de bain. Et à force de te balader dans le rayon, tu eus le coup de cœur pour celui qui se tenait en face de toi. Tu t'empressas de regarder et de prendre un à ta taille. Pour accompagner ton maillot de bain, tu fis un petit caprice et allas chercher un long paréo assortit, à mettre au niveau de la taille. Tu trouvas ton bonheur et te dirigeas vers les vestiaires. Tu fis bien attention que se soit celui des femmes. Puis, tu t'empressas d'essayer ton ensemble.Soudainement, tu entendis une personne derrière le rideau te demander si tu avais besoin d'aide. À l'écoute, de cette demande et du propriétaire de cette voix. Tu t'arrêtas de fonctionner. N'ayant pas de réponse, le rideau s'entrouvrit.
Bakugo : Bon, tu as besoin de quoi à la fin ?
Tu te retournas vers lui pour répondre. Maintenant en face de lui, aucun son ne sortit. Tu le cherchas du regard. Et lorsque vos regards se croisèrent, c'était comme-ci le temps venait de s'arrêter. Comme-ci personne ne pouvait rentrer dans cette petite bulle d'intimité. Étais-tu la seule à avoir ce ressenti ? Tu étais pourtant bien décidé de te recentrer. Mais comment ? Les sentiments sont une chose bien trop difficile à contrôler.
Toujours dans tes pensées, tu ne pus t'apercevoir que c'était réciproque. Il te regarda de la tête aux pieds. Il n'eut pas les mots pour exprimer ce qu'il voyait. Effectivement, ce n'était pas vraiment son fort, et encore moins pour complimenter la personne qu'il aimait. Son regard rempli de désir se stoppa sur tes lèvres. Il fit un pas en avant et referma le rideau afin d'être le seul à te voir aussi vulnérable. Il en était hors de question. Il s'approcha de toi, réduisant peu à peu l'espace entre vous.
Il était maintenant à deux centimètres de toi. Tu relevas la tête pour garder le contact. Plus tu vis ces yeux rouges perçants, plus tu te sentis à leur merci. Ce n'était pas déplaisant. Tu sentis sur ton visage son souffle. À chacune de tes respirations, son odeur t'enivrait.
Tu le vis se pencher et poser ces mains sur ta taille. Par réflexe, tu fis un pas en arrière. Avec ton paréo, il t'en empêcha. En effet, tu baissas la tête, ton paréo n'était plus attaché à ta taille. Il le remit en le replaçant comme il faut et fit le nœud. Il se dirigea vers la sortie du vestiaire.
Bakugo : Ça te va bien.
Puis, il sortit du vestiaire. Tu te regardas dans le miroir. Et effectivement, la manière dont Bakugo avait mis le paréo t'allait bien mieux. Après des petites secondes à contempler ton reflet, tu venais de cogiter de ce qui venait de se passer. Tu rougis très vite lorsque tes pensées dérivèrent. Et tes doigts effleurèrent tes lèvres.
Tp : Étais-je la seule à en vouloir plus de cette proximité ?
De l'autre côté, le jeune homme sortit avec ces achats du magasin. Il se rendit dans un endroit tranquille, sous un arbre à l'ombre. Il posa son sac au sol. Il s'accroupit. Ces yeux fixèrent le sol. Il mit ces mains sur le visage et des rougeurs apparaissaient.
Bakugo : Putain de merde ! C'est plus compliqué que ça en a l'air. L'alien, je vais te tuer. Fait pas n'importe quoi dit-il. Plus facile à dire qu'à faire. Je suis censé faire comment ? Et je dois supporter jusqu'à la sortie. Putain Tp ! Sombre idiote. J'ai failli t'embrasser. Tu pourrais réagir, merde ! Comme me sortir des vestiaires, par exemple ! C'est moi qui vais mourir avant... avec tous ces figurants. Ça va être une journée de merde aujourd'hui et elle a à peine commencé.
Kirishima : Hé mec tu fais quoi là ? *Cris tout en s'approchant de Bakugo.*
Bakugo : J'essaie de survivre.************************
Hello ! Si tout ce passe bien la suite sera publié samedi soir ou dimanche. Puisque j'ai pas publié la semaine dernière. ^^
Des gros bisous 😘Mouah Mouah.
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Tp a rejoint le groupe ! [Katsuki x Reader] [MHA]
FanfictionTp Tn, 16 ans, rentre en 2ème année dans le plus grand lycée héroïque du Japon. Son alter, (ton alter = Ta) lui aura permis de se faire une place dans la classe de la 2-A. Le soir même de sa première journée de cours, forte épuisante et palpitan...