« Perilleux »

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Cela fais maintenant trois jour que nous sommes parties de France. J'ai laissée Anya au pouvoir ainsi que la moitié de mes hommes pour être sur que tout ce passe bien. Je me demande comment ce passera ce séjour longue durée entre Miss Reyes et Anya. Charlotte dors paisiblement dans mes bras dans mes bras. Bercée par les chevaux. sa mère est non loin de la, dans une charmille avec ses fils.  Le jeune prisonnier, aussi. Lui marche au côtés de mes gardes. Il est finalement sympas, voulant seulement la paix. Lorsque nous arriverons je leurs offrirais un toit et un travaille. Les enfants iront à l'école. Tout iras mieux.

Le roi et la reine, du moins les anciens souverains de France, sont dans une cage. Entourée de mes gardes. Ils recevront le châtiment quant nous arriverons à La Capital dans quelques jours.

Je pense à ma femme, à son visage angélique. Je pense aussi à sa grossesse que je n'ai pas assistée. J'ai hâte de trouver refuge au près d'elle. De l'enlacer et la chérirent à nouveaux. Cette pensée me fais dévier à Elizabeth sa sœur. Et son neveu. Cette enfant heureusement provient du mariage de la mère d'Elizabeth.

-Ont arrive bientôt Lexa ? Demande la petite charlotte dans mes bras.

-Encore quelque jour et tu découvriras un nouveau monde.

Elizabeth est une jolie jeune femme, avec une ressemblance vers Clarke. Pourtant elle n'a pas ce grain de beauté au dessus de la lèvre. Ses cheveux sont moins blond que mon épouse. J'espère qu'elle trouvera son bonheur auprès de mon peuple.

Au loin j'aperçois la tour de Polis. La flamme n'y est pas allumée. Lorsque nous pénétrons à travers les murs, charlotte ce cache proche de mon cou. Intimidée par mon peuple qui crie victoire avant de s'agenouiller.

Au loin je l'aperçois. Je descend de mon cheval, faisant descendre aussi charlotte. L'a donnant dans les bras de sa mère.

-Lexa ne pars pas, chuchote la jeune fille.

-Je reviens, lui chuchotais-je.

Je m'éloigne, le silence règne. Tout le monde attend patiemment que je m'exprime.

Je m'approche, embrassant tendrement la main de ma femme. Posant ma mère sur son ventre.

-Tu es enfin de retour, murmure t'elle. Caressant ma joue. Une larme dévalent la sienne.

-Je suis là , lui murmurais-je avant de m'éloigner.

-Mon peuple ! M'écris-ai je. Nous avons gagnez! Le trône de France nous appartiens! Des cries de joie ce font entendre. Je fais signe à Miriam et ses enfants d'approchée. Ainsi qu'a Elizabeth et le jeune homme penaud.

-Ce ne sont pas des prisonnier. Ils sont comme vous est moi! Ils ont subit la méchanceté de l'ancien Souverain. Je leurs ai offert une nouvelle vie! La main de charlotte viens ce loger dans la mienne. Ils nous ont aidées à attraper les ennemies, respecter les! Ils font partie de mon peuple, de notre peuple.

Les prisonniers sont amener en cellule, tandis que je rejoins ma salle de trône en compagnie de Clarke. Les anciens français nous rejoindrons rapidement.

Elle m'embrasse des que nous sommes seules. Un baiser fougueux, emplie d'émotions.

-Tu m'as manquée! Me murmure t'elle à bout de souffle.

-Je suis là... je ne partirais plus.

-Qui étais cette jeune fille qui me ressemble. Demande t'elle en s'asseyant sur mes genoux.

Mon trône, m'avait terriblement manquée. Je caresse tendrement son ventre arrondie.

-Elizabeth, ta demi soeur. Lui dis-je.

Tu sera mienne Tome 2 (clexa)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant