Moonfish [Recueil d'OS]

Ohni x male!OC [Les Enfants De La baleine]

Je voulais intégré mon oc, Uhaina, de l'univers de Kujira No Kora, dans ce tout premier One-shot. J'ai même fait un picrew de lui pour que vous voyez de quoi il à l'air *^*
Cette interaction avec le personnage d'Ohni, interpréta là comme bon vous semble.
En espérant que cela vous plaise ^^

⚠️ Cet OS contient des sujets sensible tel que la m0rt, le s€icide et l'aut0mutilation. Si vous êtes sensible à cela, ne lisez pas.
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" Mud Moths „

Ohni x Uhaina

Depuis l'assaut décisif face à Skylos, la Baleine de Glaise était devenue une tombeau géant. Déjà depuis la première attaque, une ambiance funèbre y régnait. Une atmosphère étouffante à laquelle personne n'a échappé. La mort planait sur leur tête, et c'étaient presque devenu tristement habituel. Le vaisseau de boue n'avait pas connue une telle hécatombe, et malgré la riposte concluante organisée face à ces hostiles étrangers, les habitants avaient progressivement perdu espoir. La paix qui régnait sur la Baleine De Glaise s'était brusquement brisée dans des éclats de sang et de larme. La vérité concertant cette île qui était à leur yeux tout leur monde leur a été violemment lancer en pleine figure. Quiconque serai désemparé face à un tel chamboulement.

Couché dans un bâtiment presque rendu poussière par l'ennemi, l'un de ces habitants songeait vaguement à l'avenir. Yeux mis-clos, le corps couverts de blessure pas encore cicatrisés, il est l'un des soldat utilisateur de saimia qui avait décidé de protéger son chez lui envers et contre tout. Ses cheveux longs, d'un blanc cassé, tombait négligemment sur sa pâle figure, dont ressortait simplement ses pupilles couleur coquelicot, détaillant la ruine dans laquelle il s'était allongé. Un garçon aux abords chétif, frêle, dont le regard traduisait un profond désarroi. Le chaos règne encore dans son esprit, et à chaques fois que ses paupières se ferment, ils revoient toutes ces atroces images, ces cris horrifiques lui percent les oreilles.

Il le revoit lui

À chaque fois qu'il essayait de se souvenir de son visage, il revoyait sans cesse la réminiscence macabre de son corps sans vie étalé au sol, les lèvres violacé et l'estomac sauvagement perforé, dont le sang coulait tout le longs de ses jambes massacrée par la labeur. Ses yeux. Ils étaient grand ouverts et témoignait de l'atrocité de l'acte, la violence de ce coup qui lui a été fatal. Il n'avait pas pleurer à ce moment là, le choc était trop grand. Il l'avait vu mourrir dans la totale impossibilité d'agir.