chap 14

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**Alia**

Je suis rentrée et j'ai pris une petite douche pour me préparer à cuisiner. J'ai enfilé une robe légère et je suis allée en cuisine. Comme il faisait très chaud, j'ai décidé de préparer du jus de citron.

Kader : Merci.

Beau-père : Wallay, je vais devoir trouver une femme sénégalaise.

Moi : Oui, je vais même vous aider, je le jure au nom de Kader.

Kader : Wallay, toi et Zahra, si vous continuez à jurer avec mon nom, on va tous se retrouver au tribunal.

Toc toc.

Asta : Je vais ouvrir.

Je l'avais complètement oubliée.

**Asma**

Je suis arrivée et j'ai frappé à la porte. Une fille est venue m'ouvrir.

Elle : Bonjour, que voulez-vous ?

Moi : Ce ne sont pas vos affaires, merci de me laisser passer. La courtoisie et le respect ne font apparemment pas partie de votre vocabulaire.

Elle : Vous parlez beaucoup pour une fille.

En voyant Alia s'approcher :

Moi : Hé, ce n'est pas le chéri de canard ?

Alia : Continue à l'appeler canard. Il vient juste de me menacer. Oh, tu m'as manqué !

Moi : Qui est cette fille qui fait office de portière, s'il te plaît ?

Alia : Tu ne changeras jamais. C'est Asta, la cousine de Kader.

Toc toc.

Alia : C’est qui ?

: C’est moi.

**Point de vue de Mouha**

Moi : C’est moi.

Alia saute sur moi. Elle m'a trop manqué.

Alia : Mon bébé d'amour.

Mouha : Ma petite puce.

Asma : Et moi, on ne me salue pas ?

Moi : Donc, tu es une personne ?

Asma : Non, je ne suis pas une personne, mais un esprit.

Moi : Ça se voit, tu ressembles à un Homo sapiens sapiens.

Asma : Alia, parle avec ton grand frère, sinon...

Alia : Sinon quoi ? Votre histoire d'amour ne me regarde pas. Si vous vous aimez, ce n’est pas ainsi que vous devez nous le montrer.

Asma : Astaghfirullah.

Moi : Alia, laisse-moi tranquille.

Kader : Salem, les gars. Ça fait un de ces bruits.

Moi : Oui, mon gars, ça va. J'espère qu'Alia ne te mène pas la vie trop dure. Elle est une experte en matière de saouler les gens.

Kader : Je comprends tout maintenant. De toute façon, un jour, je vais finir en prison pour meurtre.

Alia : Ne vous gênez surtout pas, faites comme si j'étais absente.

Moi : Où sont les garçons ? Ils ne sont pas encore arrivés ?

Asma : Non, pas encore.

Moi : En fait, toi, la folle, c’est à toi que je m'adressais. Merci de te mêler de tes affaires.

Asma : Alia...

Kader : D'accord, calmons-nous. Viens, Mouha, on peut aller dans mon bureau. En fait, j'ai oublié de te présenter ma cousine, Asta.

le pacte est scellé[Terminé ✅]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant