Coucou 💋
PDV DE MÉLISSA
On était en train de parler tranquillement quand la porte s'ouvre et laisse apercevoir la silhouette de Rayan. Il pénètre dans la chambre en prenant soin de fermer la porte derrière lui et vient s'asseoir à côté de moi sur mon côté gauche car y'avais déjà Fares à ma droite.
Rayan : Ça va?
Moi : *sourire* El hamdoullilah.
Il prend ma main dans la sienne puis dépose un baiser dessus.
Rayan : Tu sais, pas la peine de faire devant moi que tu vas bien Mel.
Moi : *soupire* Je sais très bien t'inquiète pas.
Il allait parler quand il se fait couper par un toussement. Je tourne ma tête cars le bruit et aperçois que ça vient de Fares que je l'ai totalement oublié.
Farès : Ça va je vous dérange pas?
Moi : No-
Rayan : Oe un peu.
Je fais les gros yeux à Rayan qui lui me regardait en haussant les épaules tandis que Farès contracte la mâchoire et sers ses poings.
Fares : *sec* Tu viens de dire quoi là ?!
Je regarde Rayan pour l'intimider de parler mais il fait qu'à sa tête.
Rayan : Beh quoi? Je dis la vérité, t'es encore là assis à côté d'elle comme si de rien n'était alors que ça se trouve que c'est à cause de toi quel est sur ce putain de lit d'hôpital.
Moi : Rayan !
Fares se lève et il allait avancer vers lui quand je lui tiens le bras.
Fares : Comment tu me parles toi ! Tu crois que j'suis ton chien?!
Rayan : Quoi? J'ai viser ton côté sensible?
Fares : Sale fils de pute, tu sais pas comment je me retiens là !
Moi : Rayan, ça suffit !!
Rayan : Si t'es un homme vient pour voir !
Moi : ÇA SUFFIT PUTAIN?! VOUS ÊTES SÉRIEUX LÀ À VOUS DISPUTEZ DANS UN PUTAIN D'HÔPITAL ?! ET C'EST LA FAUTE DE PERSONNE RAYAN, CESSE DE DIRE QUE C'EST DE LA SIENNE, JE RIGOLE PAS !
Rayan : T'es sérieuse, t'es en train de le défendre alors que j'étais en train de te défendre?!
Moi : Qui t'a demander de me défendre, dit moi?! Personne ! Et c'est normal que j'le défends comme tu l'accuses pour rien !
Rayan : Mais pitié arrête de croire qu'il est un homme pure, derrière cette homme ce cache u-
Il se fait couper par Fares qu'il le tient brusquement du col et le colle violemment au mur.
Moi : Lâche le !
Fares : SI TU OUVRES TA BOUCHE, J'TE FERAIS REGRETTER TON EXISTENCE COMPRIS?!
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𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐝'𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫
ActionChronique entièrement fictif. « Il y'a lui, il y'a moi, il y'a nous. »