J'ouvre mes yeux d'un coup mais les referme aussitôt car y avait la lumière qui me faisait mal aux yeux. Je les réouvre alors tout doucement jusqu'à m'habituer à la luminosité et je trouve ma mère assise à côté de mon chevet. Je voulais lui parler lui dire que j'me suis réveillée mais j'avais la gorge très sèche ce qui me laisse pas parler.Moi : De..de l'eau..
Elle lève sa tête d'un coup vers moi et me passe une bouteille d'eau que je bois directement.
Maman : Tu vas bien benti?!
Moi : Oui El hamdoulillah et toi?
Maman : On s'en fou de moi, ta mal quelque part?!
Moi : Non t'inquiète pas.
Maman : D'accord bouge pas j'arrive j'vais appeler un docteur.
J'hoche la tête tandis elle se lève puis elle sort. Je repose ma tête sur le cousin en pensant à Fares où il pouvait être quand la porte s'ouvre cette fois sur Islem.
Islem : We la grosse tu t'es enfin réveillée.
Moi : C'est toi le gros.
Islem : Moi? Avec mon corps de mannequin?
Moi : Guelek « corps de mannequin » corps d'un ours we.
Islem : Mais ferme là t'es juste jalouse.
Moi : Jalouse de quoi stp? De ta graisse peut être?
Non sah j'disais ça mais mon frère avait un beau corps.
Islem : Ok bah le grec c'est pas pour toi.
Moi : Quoi? Tu sais que jrigolais mon frère préféré.
Islem : En même temps ta un seul frère sale bagra.
Moi : Ok si tu veux donne le moi.
Islem : Après ça dit c'est moi qui est gros.
Il me tend le sachet que je l'arrache limite de ses mains et commence à manger n'importe comment. J'avais l'impression que j'ai pas mangé depuis des semaines et des semaines.
J'étais en train de manger tranquillement avec Islem qui fesait que de me casser les pieds quand ma mère rentre suivit du médecin.Médecin : Bonjour, mlle Mélissa.
Moi : Bonjour.
Médecin : Vous allez bien?
Moi : Oui.
Médecin : Vous avez mal quelque part?
Moi : Non.
Médecin : Très bien, alors vous avez était prolonger dans un coma qui a durait 2 semaines environ à cause de vos plusieurs blessures.
Moi : Pardon? 2 semaines?
Médecin : Oui, vous pouvez me dire qui vous a frapper de la sorte svp?
Moi : Des filles.
Médecin : Pourquoi?
Moi : Ça vous regarde pas.
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𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐝'𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫
ActionChronique entièrement fictif. « Il y'a lui, il y'a moi, il y'a nous. »