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J'ouvre légèrement mes yeux et aperçois que j'étais à côté d'un corps. J'ouvre mes yeux directement et me redresse rapidement. Je souffle de soulagement en apercevant le corps de Fares à côté du mien. Je souris légèrement en fixant son beau visage détendu. Je pose ma main légèrement sur son avant bras et je remarque qu'il était chaud. Je touche son front en fronçant les sourcils. Je remarque qu'il était brûlant dcp j'me lève et le secoue légèrement pour qu'il se réveille. Après un peu près 5 minutes il se réveille enfin.

Fares : Laisse moi dormir zbi !

Moi : Nan Fares t'es brûlant !

Fares : Bat les couilles.

Moi : Mais pas moi, maintenant lève toi on va à l'hôpital !

Fares : Nan.

Moi : Lève toi Fares !

Fares : J'irai pas j't'ai dit !

Je souffle en me dirigeant vers la sortie de sa chambre pour aller dans la salle de bain. Je rentre dans celle ci et prends une serviette de toilettes que je mouille avec de l'eau froide puis avance vers sa chambre. J'allais appuyer sur la poignée quand quelqu'un m'attrape le bras. Je me retourne et aperçois sa mère.

Kh. Rania : T'es encore ici toi?

Moi : Oui.

Kh. Rania : Et bah tu vas dégager toute de suite de chez moi.

Moi : N-

Kh. Rania : Tout de suite !

Je voulais pas y aller et laisser Fares dans cette état. Mais pour éviter les problèmes je devais y aller du coup j'me défais de son emprise et me retourne pour avancer vers la sortie quand je me dis arrêter par sa voix.

Fares : Elle va y aller nul part.

Je m'arrête net en l'entendant et me retourne pour lui faire face.

Kh. Rania : Comment ça?

Fares : Elle va y aller nul part, c'est facile à l'entendre non?

Kh. Rania : Mais j-

Fares : Nan, elle va rester.

Elle me fusille du regard puis elle part en furie. Je souffle en m'avançant vers lui et m'arrête à sa hauteur en laissant quelques centimètres entre nous.

Moi : Pourquoi tu m'as pas laisser partir ?

Fares : Parce que tu vas me soigner.

Moi : Ta mère peut le faire nan?

Fares : Elle s'est même pas rendue compte que j'avais la fièvre et tu crois qu'elle va me soigner?

Moi : ...

Je ne répondis rien. Il avait raison. Sa mère était tellement en colère contre moi qu'elle s'est pas rendu compte de l'état de son fils. Face à mon silence, il m'attrape la main et me fait rentrer dans sa chambre. Il s'allonge sur son lit en grimaçant. J'le regarde en fronçant les sourcils et me rappelle qu'il avait une plaie sur le torse. J'lui relève rapidement son pull alors et aperçois que sa plaie s'est infectée.

𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐝'𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant