𝒩𝒶𝓌𝑒𝓁 -𝒯𝑜𝒾 𝑜𝓊 𝒫𝑒𝓇𝓈𝑜𝓃𝓃𝑒-

𝙿𝚛𝚘𝚕𝚘𝚐𝚞𝚎

As Salam Aleykoum Wa Rahmatullah Wa Barakatuh

( 𝑜𝓃 𝓇𝑒𝓅𝑜𝓃𝒹 𝓉𝑜𝓊𝒿𝑜𝓊𝓇𝓈 𝒶̀ 𝓊𝓃 𝒮𝒶𝓁𝒶𝓂)

Comment vous allez mes bbs.

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Nous nous retrouvons dans une nouvelle chronique, encore.

Smeh pour les autres histoires, tellement j'ai voulu qu'elle soit parfaite, j'ai pas fait comme j'aimais et je les ai détesté et j'ai supprimé.

Smeh pour celle qui aimait.

La je vais faire un style d'histoire qui me plaît que j'aime, qui est mon style.

Tout d'abord, je kiffe les commentaires j'y réponds vous inquiétez pas.

Les insultes a mon égard, à l'égard de mon histoire ou alors mon personnage principal.

Seront supprimés et l'auteur sera bloqué.

L'erreur est humaine ne l'oublions pas.

Sinon donner votre avis commenter mais avec respect, Baarakallah u fikoum.

Cette histoire est 100% fictive.

Excusez moi pour lés fautes d'orthographe c'est pas fait exprès ou c'est le correcteur

Soyez indulgent avec moi

Commençons

Bismillah

Bonne lecture💞

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✍️

𝙾𝚗 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎𝚗𝚌𝚎 𝚊 𝚍𝚎𝚞𝚡,𝚘𝚗 𝚏𝚒𝚗𝚒𝚎 𝚊 𝚍𝚎𝚞𝚡
-Ninho

Nawel

Je n'avais que cinq ans quand maman est partie, quand elle a rejoint Allah, m'avait dit Baba.

Elle n'avait rien, elle allait bien. Allah voulait juste reprendre son âme, m'avait dit Baba.

Je n'avais jamais compris le pourquoi du comment.

Pourquoi notre Dieu unique, Allah Azzawajel, m'avait retiré ma maman. Baba m'avait dit : « C'est la vie, on la rejoindra aussi, Inshaa'Allah. »

À seulement cinq ans, j'étais orpheline de ma mère.

Mon grand frère avait à cette époque-là dix-huit ans. Il s'appelle Amir, l'aîné. Il s'est marié deux ans après, et je ne l'ai plus jamais revu, ni eu de ses nouvelles. Il nous avait oubliés.

Ma grande sœur Kenza, la deuxième de la fratrie, avait seize ans quand ma yemma est partie. Dès sa majorité, elle s'est mariée et a aussi oublié l'existence de sa famille.

Camil, mon autre frère, avait quinze ans quand ma mère a rejoint Allah. Il m'avait fait de nombreuses promesses après le départ de nos aînés, mais lui aussi, cinq ans plus tard, est parti. Je n'avais jamais compris pourquoi.

Tous les trois n'avaient pas une très bonne relation avec mon père, et je n'en ai jamais compris la raison durant mon enfance.

Mon père m'aimait de tout son cœur. J'étais sa perle, son petit bébé, sa petite princesse. Il rigolait souvent avec ma mère. Enfin, c'est ce dont je me souviens quand il m'en parlait.

Mon père m'a très bien élevée, dans l'Islam. Il avait élevé la photocopie de sa femme. Je lui ressemble énormément, que ce soit à l'intérieur ou même à l'extérieur.

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À mes dix-sept ans, presque dix-huit, mon père a découvert un cancer du poumon. Il n'avait aucune chance de survivre d'après les médecins. Mais moi, j'ai longtemps gardé espoir, car c'est notre Seigneur le Tout-Puissant qui sait. Il nous a donné la vie, et lui seul sait quand il nous la reprendra.

Après six mois de bataille contre cette maladie, il était toujours vivant mais souffrant. Cela faisait trois mois que j'avais atteint ma majorité. Mon père voulait donc me marier pour que je ne reste pas seule, pour que j'aie une famille.

Il m'a donc trouvé un mari. Nous avons fait le hlel, puis deux semaines après, le civil. C'était quelque chose de petit et assez privé. Nous n'avions pas beaucoup de famille, de toute façon.

Mon mari s'appelle Hassan. C'était un Marocain-Saoudien, un homme d'affaires. Du haut de ses vingt-deux ans, il avait quand même beaucoup d'ennemis du côté de la cité à côté de sa grande entreprise. Nous vivions dans un loft de l'autre côté de la cité où j'habitais avant. C'était immense, mais je n'avais pas beaucoup d'amies.

À l'époque, quand ma mère était de ce monde, tout le monde nous aimait, et l'aimait elle. C'était une femme bien. Après sa mort, tout le monde nous a détestés, ou plus précisément, a détesté mon père.

Et mon mari commençait lui aussi à se faire des ennemis, surtout du côté des dealers. Car, pour mon mari, ce n'étaient pas des hommes. Ils vendaient souvent devant son entreprise, et pour les chasser, il appelait la police, ce qui les énervait énormément.

Je rêvais d'avoir un enfant, mais je n'ai pas pu en avoir. En réalité, mon mari n'était pas vraiment présent, et d'après lui, on était trop jeunes, et ce serait trop de boulot pour lui. Et puis, c'était trop dangereux : il avait trop d'ennemis à la cité. Ça l'était aussi pour moi, mais peu importe, j'étais une grande fille, d'après lui. Pffff, il ne faisait que se contredire.

Il n'était pas vraiment aimant et ne passait pas vraiment de temps avec moi.

Quand mon père est mort, j'étais dévastée. Il avait beaucoup souffert et il avait tenu le coup très longtemps. Je ne m'en suis pas remise tout de suite. Je m'en voulais tellement, d'une certaine manière. Parce que je n'avais pas assez profité de lui. C'est toujours après la mort qu'on s'en rend compte.

Je me demandais même si mes frères et sœurs seraient un jour au courant.

Je me demande ce que je vais faire de ma vie maintenant, sans mon petit papa.

Maintenant, je serai seule avec mon mari.

Et après, qu'est-ce qu'il se passera...

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Je m'appelle Nawel, j'ai 19 ans, je suis marocaine, je suis ou j'étais marié à Hassan. Je ne suis pas aimer de tout le monde ou mon père n'a pas été aimé de tout le monde, et voici mon histoire...

À suivre...

NDA(Note de l'auteur):

Coucou mes bbs.

Vous avez aimez?

Dites le moi en commentaire.

Donnez moi vos avis (j'aime les commentaires🤭)

Qu'est-ce que vous pensez de son histoire ?

Qu'est-ce que vous pensez de se personnage principal Nawel?

Vous aimez le prénom?

Comment vous trouvez cette façon d'écrire?

Smeh je pose troop de questions, je parle trooooop.

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Des bisous à la prochaine💋🫶

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