𝑬𝒍𝒚𝒔𝒔𝒂: 𝑨𝒑𝒂𝒊𝒔𝒆 𝒎𝒐𝒊

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Salem aleykoum, Hey

Bissmilah❤️

Elyssa: Apaise moi

Elyssa

J'ouvre les yeux, la lumière blanche vient rapidement m'éblouir, j'avais beaucoup trop mal à la tête c'était horrible, j'étais un peu perdue.

Puis je me suis souvenue de ce qu'il c'était passé lorsque j'ai remarqué que j'étais à l'hôpital et que dans ma chambre se trouvait Ali, Samy, ma tante, et certains de la famille de Samy aussi.

Ils se sont tous approché, tous mis à me parler, j'avais envie de frapper tout le monde. Sauf ma tante bien sûr, la pauvre, c'était la seule à me comprendre.

En me rappelant de mon sort une boule au ventre c'est formé dans mon ventre, une envie de vomir, j'étais pas bien.

Ma tante: Le médecin a dit que tu avais fait une crise d'angoisse, ça va pas Elyssa?

Moi: J..

Au même moment je croise le regard d'Ali..

Moi: Si oui hm ça va.

Samy: Stresse pas, ne t'inquiète pas.

J'avais qu'une envie c'était de le gifler lui, vraiment. Je l'aimais vraiment pas, je le trouvais tellement insupportable, des fois je me disais "t'abuses Elyssa le pauvre" mais c'était plus fort que moi, je ne le supportais pas. Juste voir sa tête ça m'angoissait.

Je ne parlais pas, j'ai lâché aucun mot.
Ils me regardaient tous sans rien dire.
Moi j'avais toujours cette envie de vomir, cette fichue boule au ventre qui ne voulait pas partir..eh j'étais pas bien. Je voulais Nadim, juste Nadim.

Je l'ai pas dit mais..il me manquait énormément, sa tête d'enflure me manquait. C'était le seul qui arrivait à m'apaiser dans des situations de stresse pareil, le seul.

Je les regardaient me parler, sans pour autant les écouter, j'essayais de penser à Nadim, à nos moments passés ensembles, ça me faisait oublier mon envie de vomir.

Ali: Eh oh Elyssa?

Moi: Oui?

Ali: Le médecin veut pas te laisser sortir aujourd'hui.

Moi: Oh fait chier.

Je cache ma joie là, en réalité j'étais contente. Je voulais pas rentrer, je voulais rien en fait, en plus il commençait à faire nuit et sincèrement j'avais la flemme.

Ali: Je reviens, je vais te chercher de quoi te changer etc..

Moi: Ok.

Et il est partit. Un silence glacial à repris place, tuez moi.

Nadim

Je vois Sabry arriver au loin, je sentais mon cœur palpiter truc de fou, j'étais comme un dingue.

Il monte dans la voiture, je l'ai directement agressé.

Moi: Alors??

Sabry: Elle a fait une violente crise d'angoisse, elle en a perdue connaissance.