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Salem aleykoum, Salut

Bissmilah❤️

Elyssa: Apaise moi

Elyssa

J'étais déjà entrain de pleurer, il venait de tout me raconter. Il m'avait dit que ce fameux numéro qui l'appelait et au quel Nadim ne répondait pas quand il était avec moi était un homme à qui il devait de l'argent. Une énorme somme d'argent, mais il ne m'a pas dit combien exactement.

Et il m'a dit qu'il y'a deux jours, ce mec là l'avait appelé pour lui demander si il avait enfin l'argent. Nadim a dit que non. L'homme lui a dit de venir, Nadim à refusé, mais il l'a menacé, il a dit qu'il s'en prenderais à moi si il irait pas..du coup il y est allé.

Il m'avait utilisé pour convaincre Nadim de venir! Et depuis ce jour là..plus de nouvelles.

Quand on est arrivés à destination j'avais trop peur vraiment, je tremblais sans même m'en rendre compte. Nous étions devant un dépôt abandonné.

J'ai regardé Sabry il avait l'air super stressé, il appréhendait sûrement de voir ce qui l'attendait, mais moi aussi finalement.
On est descendus de la voiture, nous avons penetrer dans l'entrepôt, on trouvais pas la lumière, jusqu'à ce que Sabry finisse par la trouver.

Je lâche un terrible crie de surprise, je vous jure j'ai sentie mon cœur s'arrêter.
Je suis restée immobile un certain temps puis je me suis approchée, tremblante.

Moi: Na..Nadim.

Je me suis agenouillé près de lui, il était assis sur une chaise, les mains liés à celle-ci, la tête penché, le visage littéralement en sang.

Moi: Nadim ouvre les yeux je t'en supplie..

Je me suis mise à pleurer d'avantage.

Moi: Tu peux pas me faire ça..t'avais dit que tu me laisserait pas..Nadim s'teu plaît!

Dis-je en le secouant.
J'ai tourné la tête vers Sabry, il c'est approché puis il l'a détaché. Son corps est partit en avant, j'ai essayé de le tenir avec l'aide de Sabry.

Puis Sabry a directement appelé les urgences. Purée..mais qu'est-ce que je vais dire à sa mère moi..

Moi:*En pleurant* Pense à ta mère!

Sabry: Elyssa doucement..

Moi: Non non regarde ils l'ont tués, regarde..

Sabry: In shaa Allah kheïr..

Je suis restée silencieuse. Franchement j'admirais Sabry, ça se voyait il voulait pleurer mais il gardait tout de même son calme. C'était grave respectable.

Puis bref du coup je suis restée silencieuse jusqu'à la venue des urgences. Ils l'ont directement pris en charge, je suis montée avec lui et Sabry nous a suivis en voiture.

J'essayais de me calmer, et de garder mon sang froid, mes chaudes larmes.
Je n'en pouvais plus.

Infirmière: Calmez vous madame.

Moi: Mais...il..

Infirmière: Ça se passera bien. Vous êtes qui pour lui?

𝑬𝒍𝒚𝒔𝒔𝒂: 𝑨𝒑𝒂𝒊𝒔𝒆 𝒎𝒐𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant