Chapitre 16

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- Vo-Votre Altesse ? Dis-je en bégayant. Qu'est-ce que cela signifie ?

Et pour la première fois début que nous sommes entrer dans la tour, il me regarda et souria. J'avais l'impression qu'on m'avait renverser un seau d'eau glacé sur la tête.

On l'avait appelé "Votre Altesse". Des gardes l'avaient appelés ainsi. Il était un prince. Le prince d'Eocklisia. Mon ennemi.

-Enfermer-la au donjon.

Je regarda Ellorial.

-NON, crais-je, tu ne peux pas me faire ça. Tu as dit que tu allais m'aider.

Le gardes arrivèrent tous autour de moi et me prennèrent par les bras afin de m'emmener au donjon.

-Les apparences sont trompeuses, princesse. On ne te l'a jamais appris ? On ne t'a jamais appris à ne faire confiance qu'à toi et toi seule ?

Son sourire malicieux et satisfait qui était affiché sur sa tête m'agaça. Je voulais le lui arracher. Je me sentais trahie. Je me débattais contre les gardes pendant que la personne en qui je pensais avoir confiance me regarda partir vers le donjon.

-Non, non, non, n'arrêtais-je pas de crier en donnant des coups de pieds et de coudes aux gardes qui essayaient de m'emmener.

Je n'arrivais pas vraiment à voir combien de garde me tenaient, mes yeux étaient humides. Trop humides à mon gout. Ellorial était remplacer par une silhouetter plus ou moins flou qui disparut au moment. Je continuais à me débattre mais cela ne servait à rien. J'aurais du rester au château. Je regardais autour de moi, nous étions entouré de murs en bétons plus on avançait plus des barreaux en fer nous entouraient. Il n'y avaient quasiment aucune cellule de libres. Elles étaient toutes occupées par des prisonniers attachés par les mains par des chaines.

Tout à coups, je fus jetée dans la cellule et les gardes se précipitèrent aussi vite pour m'attacher les mains avant de partir et de refermer la cellule à clef. Deux gardes restèrent devant la porte afin de la surveiller. Je n'avais vu aucun gardes surveiller les cellules des autres prisonniers seulement pour surveiller l'entrée du donjon. Ils me considéraient donc comme une menace. J'observa la cellule dans laquelle j'étais emprisonner. J'étais entourer de mur, seul le mur de la porte était en barreau de fer, je ne pouvais voir aucun prisonnier, ni leur parler.

***

Je luttais contre les chaines que j'avais accroché à mes poignets, j'essaya tant bien que mal de les casser, épandant, elles étaient trop solides. Je n'avais plus trop la notion du temps mais j'estimais que cela faisait au moins six heures que j'étais coincée dans cette cellule.

Les gardes changeaient de tour de garde toute les deux heures environ. J'étais épuisée, je n'avais rien manger depuis que je suis enfermée dans cette cellule. J'avais refuser de manger le repas que les gardes avaient déposés dans ma cellule quelques heures plus tôt.

Les gardes me regardaient comme un monstre lorsqu'ils arrivaient pour surveiller ma cellule. J'étais également épuisée, épuisée d'essayer de casser les chaines qui emprisonnaient mes poignets et mes chevilles, épuisée de trop pensée, épuisée de rester éveillée alors que l'envie de dormir monta en flèche. Mais je refusais de dormir, qui sait ce qui pouvait m'arrivé en dormant. Je ne pouvais pas baisser ma garde ne serais-ce que quelques minutes.

-Alors la petite princesse est enfermée, dis une voix masculine.

Je leva ma tête et vu un homme entrer dans l'entrer de ma cellule. Aucun garde ne me surveillait, c'était seulement lui et moi. L'homme dévérouilla ma cellule et entra. Il ne prit même pas la peine de verrouiller ma cellule derrière.

Nos Royaumes EnnemisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant