Prologue

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mes vies désolé j'ai oublié de mettre le prologue avant le chapitre 1 je suis trop bête ehhhhh, sorry mes dogja.

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"Je me réveillais dans la pénombre d'un endroit sombre et humide, la sensation d'humidité dans l'air me remplissait d'une peur incontrôlable. Après quelques minutes de marche en tâtonnant dans l'obscurité, j'entendis un bruit étouffé venant de derrière moi. En tendant l'oreille, j'entendis le bruit de l'eau qui s'approchait lentement mais se rapprochait tout de même.

Je me mis alors à courir, le plus vite que mes jambes le permettais, pour m'éloigner de cette eau qui me traquait. Cependant, la peur et l'angoisse me rendaient désorienté et le bruit de l'eau était en train de se rapprocher de moi.

Je continuai de courir même si je ne savais pas où je me trouvais, je me laissai porter par l'instinct de survie, le bruit de l'eau me poussait de plus en plus fort, me forçant à courir plus vite, plus fort, tant et si bien que l'eau finissait par m'emporter avec elle.

L'eau me transportait tellement vite que je perdais peu à peu mes espoirs.

Cependant, je finis par sentir l'eau se retirer, je me trouvais toujours dans l'obscurité, mais au moins j'étais en sécurité.

Je me tenais alors debout, les mains tremblantes de peur et de froid, j'étais trempé mais je devais avancer, je devais continuer, et je ne pouvais pas abandonner, pas maintenant."

Je continuai d'avancer pendant encore 15 minutes et là, je vis enfin quelque chose ; serait-ce la fin ? Aurais-je réussi après tant de temps passée dans cette sorte de tunnel? Quelque chose me disait que non, que ce n'était pas la fin et j'avais raison. Je stoppai net, je ne marchai plus, je ne respirai plus, je ne bougeai plus, plus rien. La seule chose que je me permettais de faire, c'était d'écouter et de compter intérieurement 1, 2 , 3 , 4, 5 génial trouver tu est discret mais pas assez pour passez inaperçus. J'ouvris mes yeux et à la vitesse de la lumière, je pivotai ma tête sur le côté esquivant la fléchette lancée dans ma direction. Je sortis mon couteau, le positionnant à plat sur la paume de ma main laissant la lame dépasser légèrement. Plus haut au bout de mes doigts, je sortis un petit bandeau que j'enroulai autour du manche  de la lame et de ma main. Je fixai le tout. À peine avais-je le temps de finir que je ressentis un mouvement derrière moi. À ma droite et à ma gauche, au son de leurs respirations ils devaient être trois, 1 2 3 4 5, et c'est parti, vous avez voulu jouer, eh bien on va jouer. Une hache s'abat violemment à ma gauche que j'esquive en me retournant pour voir à qui j'avais à faire. La personne derrière moi portait une hachette. Malgré cette arme qui était effrayante, il ne faisait pas le poids face à moi. Je me reculai de quelques mètres et je pris le temps d'observer leurs têtes, de visualiser ces 3 personnes qui allaient devoir mourir de mes mains si par malheur elles ne me laissaient pas le choix. Le gars qui était à ma droite mit fin à mes analyses en courant vers moi sortant deux fines lames qu'il lança dans ma direction en prenant soins de viser mon cœur. Je stoppai net son bras, dans son élan et le maintins ; je le fixai dans les yeux, lui souriais et en me positionnant derrière lui, je mis son bras derrière son dos et lui assénai un coup de genoux dans le dos ce qui le sonna un peu. Mais pas le temps de faire plus, car celui de gauche envoya sa hache dans ma direction, je me plaquai au sol et tournai sur moi-même. Il tenta de me donner un coup de pied à la tête que j'arrêtai avec mes avant-bras. Je plantai ma lame dans son pied ce qui a eu pour effet de lui arracher un cri de douleur. Je retirai la lame, me levai et la replantai dans son épaule gauche une fois, deux fois et 3. Je sentis que derrière moi une main s'approchait pour tenter de m'attraper les cheveux. Je me retournai très vite, fixai mon adversaire qui me regarda avec un regard noir, je fonçai sur lui lui faisant croire à une attaque rapide ce qui eut pour effet de lui arracher un rictus malsain puis au dernier moment je freinai. Je mis tout mon poids sur ma jambe droite, je me mis de profil et lui donnai un coup, deux, trois coups de poing et le quatrième, c'est moi qui me le prend puis encore un et encore je me relevai subitement et plantai mon couteau dans ses côtes. Il tomba à genoux en hurlant de douleur et en m'insultant de tous les noms possibles. Le dernier qui avait été le premier à m'avoir attaquée s'était relevé entre-temps. Je me retournai vers lui; son regard n'était pas le même que les deux autres, il était comme perdu. À la vitesse de la lumière, il sortit un 9mm et tira. Je me pris une balle à l'épaule. Je me retins de hurler à la mort mais je criai assez pour que les larmes commence à montaient mais je ne pouvais pas montrer mes émotions alors je les cachais. J'allai ramasser une des armes de mes ennemis quand je les vis se relever et partir. Ils partaient ? Comment ça? C'était fini ? Je me devais de les tuer, je ne pouvais pas les laisser filer. Mais la réalité me frappa de plein fouet: c'était une épreuve et non un vrai combat et je me souvins de la condition ''aucun mort ne sera accepté sous peine d'être éliminé''


"La patiente une vertu honorable que beaucoup de gens oublie "


                                                                                       𝕾𝖎𝖌𝖓𝖊z: 𝕷𝖆 𝖕𝖑𝖚𝖒𝖊 𝕰

Il est la clé de mon cœur, et je suis l'amour de sa vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant