Progression

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pdv Alenzo.

La soirée se passa assez bien. J'étais content. Cette soirée était très importante pour mon père et moi. Ces bijoux étaient importants mais pas seulement, j'étais venu parce que je devais voir quelqu'un qui allait m'être utile. Quand je trouvai enfin la personne, j'appelai Carl pour le prévenir qu'il serait seul avec Della et l'autre meuf Aria et qu'il allait devoir gérer seul. Maria et Evan allaient m'accompagner pour s'assurer que tout se passerait comme prévu. Une fois Evan et Maria prévenus, j'allais voir la personne.

-Moi qui pensais que tu n'étais plus en vie, te voilà de retour Marcus, que nous vaut le malheur de cette horrible surprise?

Cet homme était la description même de l'exaspération, du dégoût et de l'imparfait. Du haut de ses 44 ans, il était toujours aussi peu intelligent et inefficace, il ne faisait qu'énerver le monde.

-Toujours aussi charmant Al, tu es vraiment toujours aussi accueillant avec tes amis ?


-Qui te dit que tu peux te permettre de m'appeler Al ? Seules mes amis peuvent se que tu n'est pas Marcus je te le rappelle au cas où ta mémoire t'aurait fait faux bond. Je vais me répéter, que reviens-tu faire ici ? Tu n'aurais pas pu rester dans ton coin bien oublié.


-Tu te sens important maintenant que tu es l'homme le plus craint, laisse-moi te dire Alenzo que tu n'a aucune idée de ce qui t'attend. Tu vas souffrir et je serais au premier rang pour assister à ta descente aux enfers. Tu t'es fait beaucoup d'ennemis avec le temps. Penses-tu pouvoir gérer tout ça ?


-Mon pauvre Marcus, veux-tu que je t'offre de vrais yeux ? Tu ne vois pas où nous sommes ici. Nous sommes déjà en enfer à partir du moment où tu décides de rentrer dans ce monde, tu en fais partie, tu es dans un enfer. Retiens toujours que si je tombe, tu tombes avec moi, alors reste bien à ta place de merdeux que tu es et évite de jouer avec les grands.


-Je t'aurais prévenu Alenzo et c'est pour ton bien. C'est pour toi que je dis ça. Bien, à part ces retrouvailles charmantes, nous sommes venus pour quelque chose, non ? Suis-moi que je te montre et qu'on en finisse. J'espère que tu as respecté ma demande de venir seul ?


-Dépêchons-nous d'en finir que je puisse partir au plus vite.

Ce que je pouvais haïr ce chien. Il ne savait que parler, agir il ne savait pas faire; il s'arrangeait toujours pour qu'un autre le fasse à sa place. J'avais entendu que ses affaires n'allaient pas pour le mieux, mais c'était le seul qui avait ce que je voulais. Ce chien m'avait doublé et il savait que je voulait cet objet. Après avoir rouler avec lui pendant dix bonnes minutes, on arriva près d'une petite forêt. On descendit. Je faisais toujours bien attention de n'avoir aucun de ses hommes derrière moi, on marcha quelques mètres pour découvrir un cabanon. Je jetai un petit coup d'œil discret vers le haut des arbres pour voir si Evan était là, mais rien. Il était beaucoup trop doué pour se faire voir. Quant à Maria, elle nous avait suivi pendant tout le trajet. Elle devait être garée pas loin à surveiller et aider Evan.

- On est arrivé, Alenzo. Sors ton chéquier, car tu vas être content de ce que tu vas voir.


- Montre-moi ce que je veux voir d'abord, ensuite, on verra.


- Patience, patience, attend que j'ouvre ce coffre. Ce qu'il fit et je découvris un magnifique tableau sur lequel était peint un paysage.

Il est la clé de mon cœur, et je suis l'amour de sa vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant