Cet Homme m'examinait. Il semblait lire en moi, il me comprenait, pourtant il ne me connaissait pas, du moins de ce que je pensais.Et alors que je me perdais dans la vague incontrôlable de pensées qui traversaient mon esprit, il vint à moi.
Une gare. Une gare fut le début d'une romance sensuelle et pourrie par la toxicité.
Ce beau jeune homme m'adressa alors ces premier quelque mots.
"Bonsoir, veuillez excuser mes regards déplacés mais je ne put m'empêcher de contempler votre beauté. Vous êtes ravisante, une femme comme vous,chaque hommes la rencontrent dans ses rêves les plus fou et quand ils se réveillent des larmes de désespoir coule longuement sur leurs joues. Et pourtant le fruit de mes fantasmes défendu se trouve devant moi. Alors pardonnez moi mais je ne pouvais pas rater l'unique chance de rencontrer une dame pareil."
Ses douces paroles furent touchées mon cœur bien qu'aussi glacial que les températures de mon enfance.
C'était un beau parleur. Mais il sût toucher en moi un point sensible qui teinta mes joues d'un magnifique pourpre.
Les hommes, du moins l'image que j'avais d'eux était remise en question. Cet inconnu n'était pas ce que je connaissais. Il avait réussi ,avec seulement quelques mots, à semer le doute dans tout mon être.
Alors pour ne pas passer pour une idiote je pris doucement la parole.
"Quel beau parleur vous faites ! Mais je doit l'avouer, vous m'intriguiez. Vous n'êtes pas quelqu'un de lambda et cela me plaît. Présentez vous donc très cher inconnue au cheveux blond. Révélez moi votre identité pour que cette image d'inconnu disparaisse de mon esprit tel mon mépris."
Alors de sa voix suave il me répondit.
"Mépris dites-vous ? Très chère mon cœur pleure à l'idée de vous imaginez me mépriser. Laissez moi donc me présenter.Mon prénom est Louis, je suis âgée de 26 ans et je suis intéressé par votre beauté alors j'aimerais qu'à votre tour vous vous présentiez à moi."
Légèrement déstabilisée par ses belles paroles je répondit alors:
"Enchantée Louis. Mon prénom est Bernadette. Ne vous faites pas d'idées très cher je n'offre pas mon amitié à n'importe quel beau parleur qui m'accoste."
Alors un léger rire réussi à s'échapper de ses lèvres avant qu'il ne reprenne.
"Voyons, je ne suis pas n'importe quel beau parleur ! Mes paroles, je veux qu'elle transperce votre cœur. Elle sont aussi sincères et pures que la neige blanche sur la montagne d'amour que je pourrais vous offrir."
Alors je le regarda dans les yeux et lui dit avec un sourire narquois.
"Ne savez vous donc pas mon cher ami ? L'amour est en effet comme la neige. Vous savez pourquoi ? Il est doux et pur puis ensuite il fond. Je ne crois aucunes des paroles qui sortent de votre bouche de vipère. Vous êtes comme les autres!"
Il prit alors, sans me laisser le temps de les retirer, mes mains et dit.
"Laissez-moi vous prouvez que vous pouvez placer votre confiance en moi. Un rendez vous est tout ce que je vous demande !"
Alors je pris le temps de réfléchir.
Je n'en avais pas envie, mais il semblait différent. Ça façon de parler me plaisait. J'avais besoin de m'amuser. Ma vie fade ne me convenait pas et je me dit qu'un peu d'action ne pouvais pas faire de mal.
Ce que j'avais tort.
Malheureusement je ne peux pas effacer ce que vous allez lire.
Je reprit au bout de quelques bref secondes de réflexion.
"C'est d'accord. Mais UN SEUL rendez-vous, pas plus!"
Il prit alors ma main et la baisa avec douceur.
"Vous ne le regretterez pas très chère."
Comment aurais-je pus savoir que je le regretterai toute ma vie.
Cela aura été mon plus grand regret. Si seulement j'avais tracé chemin. Si seulement j'avais pris une autre route.
Je m'en veux. Je le hais.
Ce stupide beau parleur.
Je hais ma stupidité. J'ai cédé comme une idiote a ses belles paroles.
Je me suis laissée tomber dans ses bras.....
Alors nous échangions nos coordonnées et décidions d'une date de rendez-vous.
Le lieu choisi été un petit café que j'avais souvent côtoyé. Il me disait qu'il le connaissait.
J'aurais du me méfier. J'ai été aveugle.
Une fois toute cette affaire terminée nous prenions chacun un chemin différent.
Je rentrais chez moi et lui chez lui.
Cette journée épuisante, enfin terminée. Je pus accepté l'appel de mon lit.
Si seulement je savais que cette journée allait bouleverser ma vie et celle de plusieurs autres.
Louis j'aurais souhaité ne jamais te rencontrer.
Cette histoire je vais vous la raconter.
L'inconnu a l'identité révélée.
Détestez le avec moi.
Je suis désolée pour tout cela, c'est de ma faute, mon instinct j'aurais du écouter.
Aucuns hommes n'est bon, aucuns être humains n'est bon. Ne faites confiance à personne.
L'amour n'est qu'une facette.
L'être humain est cupide.
L'humain choisira toujours sa réussite aux autres.
Il préférer éliminé ses amis, son amour et toute une planète pour être le vainqueur.
Je déteste cette espèce.
Nous nous cachons derrière des lois, que ceux qui les ont créées ne respectent même pas.
Cette société n'a aucun sense.
Notre existence n'a aucun sens.
La vie n'a pas de valeurs.
Tuer, ne pas tuer ? Au final si on est intelligent il n'y a pas de différences.
Dans cette espèce les inégalités font la domination des êtres intelligents.
J'étais bête, Louis était intelligent.
Ne faites pas la même erreur.
Il vaut mieux vivre dans un monde horrible et connaître la vérité, que vivre dans un monde heureux d'ignorants.
Lui était le vainqueur de ce jeux qu'est la vie.
Je suis la perdante.
( bon comme je l'ai dit, je poste sous coup de tête donc ne vous étonnez pas qu'il n'y est aucune régularité.
J'espère que vous apprécier? Désolé pour les fautes d'orthographe et de conjugaison....
Les chapitres sont assez courts, je m'en excuse.
Ce chapitre est assez médiocre mais veuillez me pardonner je l'es écrit en 10 min à 00:00 après une très longue journée.
Je vous revois dans les commentaires ou alors au prochains chapitres.
Prenez soin de vous.
Nina )
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Love of my life
VampirCette histoire risque d'être une romance, je ne sais pas encore. Je ressens le besoin d'écrire mais je ne sais pas sur quoi. Si pendant votre lecture vous remarquez des fautes d'orthographe, je vous encourage à me corriger, je ne suis pas la meilleu...