Le coeur d'une marionnette

CHAPITRE 4) TU ES INSUPPORTABLE AUJOURD'HUI...

PDV T.P
Ça fait maintenant un peut plus de quatres mois que Sasori me retient captive dans son atelier. On va pas se mentire. Les premiers temps c'était l'horreur. L'atmosphaire était froid et austère entre nous. Je supportais très mal sa présence et cette situation de sequestration extrême me rendais dingue. J'ai même essayé de le tué pour m'échapper de cet endroit, mais sans mes pouvoirs ça n'as servie à rien... J'ai juste finis attachée au lit et privé de nourriture pendant cinq jours d'affilés. Mais au file du temps, les choses on commencé à changer. Je sais pas comment c'est possible mais on a commencé à sympatiser et une affection c'est crée. À l'heure actuelle, je me sens plus vraiment en dangé avec lui. Je dirais même qu'on s'entend bien. Il passe le plus claire de son temps ici avec moi à travailler sur ses pantins, et on discute pendant des heures. Il me parle souvent de sa vie passé et de sa transphormation physique en marionnette. Il me raconte aussi son cotidien mouvementé avec les membres de l'Akatsuki. Je suis toujours très impatiente d'écouter ses histoires lorsque qu'il rentre de mission. Apparement, il fait équipe avec un certain Deidara qui semble sérieusement lui tapper sur le systême et moi je trouve ça plutôt drôle et divertissant. Dernièrement, Sasori m'a avoué qu'on se trouvais dans les sous sole de leurs repaire secret. Alors évidemment, depuis que je sais ça, je fais tout mon possible pour le convraincre de me faire monter un petit coup en haut. Car moi j'en peux plus d'être enfermée ici.. Il faut que je vois autre chose que cette seule et unique pièce sinon je vais dijoncté.

T.P:
- Allez stp Sasori...
*le suit partout dans l'atelier*

SASORI:
- Non. Je t'ai déjà dis que c'était trop dangereux. Je veux pas que les autres découvre ta présence. Et par pitié.... Arrêtes de me suivre partout.
*s'arrête d'un coup*

T.P:
*se tappe la tête contre Sasori*
- Et si on montait de nuit? Quand tout le monde dors!

SASORI:
- Tu es insupportable aujourd'hui...
*regarder T.P se frotter la tête*

T.P:
- Allez... J'ai tellement envie de sortir de cette pièce.
*supplie du regard*

PDV SASORI:
Elle lâche pas le moceau. Mais je peut la comprendre. Elle se plaint jamais malgré les conditions de vie difficile que je lui impose tout les jours. Son corp est amaigri par la faim et recouvert d'entailles que je lui fais subir chaque jours pour mes expériences. Je pense que je vais faire un effort pour lui faire plaisir. Elle mérite bien ça.

SASORI:
- Bon c'est d'accord...
*a finis par cédé au caprice*

Je regarde son visage s'illuminer sans me douter qu'elle allait me prendre dans mes bras quelque segondes après.. C'est la première fois que j'ai un contacte aussi rapproché avec elle.

T.P:
- Merciiiiiiii!
*le sert fort*

SASORI:
- Hem... Et bien... Derien...
*ne sais pas trop ou mettre ses mains*

Elle se détache et son sourire commence subitement à me rendre très mal à laise..

T.P:
- Attends mais tu rougis?
*surprise*

SASORI:
- C'est impossible. Tu sais bien que je suis incapable de ressentire la moindre émotions. Je suis une marionnette ne l'oublie pas.

T.P:
- Alors explique moi pourquoi tes joues disent le contraire?

SASORI:
*détourne la tête*
- Je.. je suis en retard, il est déjà 11h (matin) et j'ai du travail qui m'attend en haut. Ça risque de prendre la journée.
*se dirige vers la porte*

T.P:
-Quoi déjà? Mais tu viens tout juste d'arriver... Tu veux pas rester encore un peut?

SASORI:
- Je sais que tu n'aimes pas rester seule trop longtemps. Alors je viendrai passer la soirée avec toi. Ça te vas?

T.P:
- D'accord.
*le regarde quitter la pièce en refermant à clé derrière lui*

Je quitte mon atelier en laissant T.P derrière la porte. En réalité j'ai rien à faire aujourd'hui. Mais j'avais besoin d'une excuse pour organiser sa visite au repaire demain. J'aimerai lui préparer un bon repas et la laisser prendre une douche. Pour cela, je dois m'assurer que personne ne traine dans les alentours. Et évidemment, j'ai ma petite idée pour virer tout le monde du repaire. Une fois arrivé en haut, je demande au chef de convoquer tout le monde dans son bureau.