Visage de poupée.
"Il ne pensait pas trouver une femme aussi aimante un soir où il faisait son travail d'exorciste. Satoru Gojo fait une rencontre qui bouscule ses sentiments mais qui est contraire à son travail.
Mais l'amour n'est jamais assez po...
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𝐈𝐑𝐈𝐍𝐀 𝐕𝐀𝐓𝐂𝐇𝐊𝐀𝐈𝐕𝐀
« Comment puis-je vous remercier »
Il observe la jeune femme qui lui avait lâché ces mots. Dans la pénombre il ne pouvait pas dessiner ses traits du visage. Les yeux qui remontent vers le fléau qu'il vient d'abattre le sang qui gicle et ses yeux qui sortent de ses orbites à vrai dire ce fléau n'était qu'un minable classe 3 et pour l'exorciste c'était un jeu d'enfant.
Mais pour une personne totalement ordinaire comme cette femme c'était un exploit. Le lampadaire éclairait la moitié du visage de la jeune femme qui mettait en avant son gloss rose sur ses lèvres pulpeuses. On ressentait une certaine élégance et une arrogance dans sa façon de parler mais aussi de s'habiller. Une longue robe noire ornait son corps avec des bijoux qui décorait la noirceur de ses vêtements ainsi que des escarpins qui devaient coûter une fortune.
Superficiel.
L'homme aux cheveux blancs esquisse un sourire à la jeune femme. À vrai dire il ne voulait pas être redevable à une inconnue pour si peu. Il se contenta de refuser d'un signe de tête. Percher sur le balcon d'une petite maison de la ville il prend appui sur la barrière en fer. Elle était glaciale tellement froide qu'elle s'ancre en lui comme un souvenir. L'exorciste ne savait pas si il parlait de la barrière ou bien de la voix de la jeune femme qui stoppa son élan.
« Juste un verre et on ne se verra plus jamais. »
Gojo se retourna vers la femme qui était déterminée elle était directement sous le lampadaire. Il pouvait donc observer tous ses traits. Grande de taille , jambe fine ainsi qu'une taille marquée et une poitrine généreuse. Des cheveux blonds ondulés qui retombait sur ses épaules.Des lèvres pulpeuses des yeux bleus en amandes un petit nez retroussé. Mais surtout des doigts fins et gracieux. Elle avait tout d'une mannequin irréelle.
Je parie qu'elle joue du piano.
Il poussa un soupir qui laisse échapper de la buée avant de sortir un bout de papier pour noter son numéro et le jeter à la blonde qui le rattrapa en essayant de sauter sur ses escarpins. Elle releva la tête et sourit à l'homme perché au dessus d'elle.
« Après le verre je te bloquerais et ça sera tout.
