Visage de poupée.
"Il ne pensait pas trouver une femme aussi aimante un soir où il faisait son travail d'exorciste. Satoru Gojo fait une rencontre qui bouscule ses sentiments mais qui est contraire à son travail.
Mais l'amour n'est jamais assez po...
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Les deux adultes étaient allongés sur l'énorme lit de reine d'Irina celle ci portait une nuisette en satin rose disant que ça faisait « coquette core » tout en étant sous son énorme couette blanche. L'exorciste était à côté d'elle dans son vêtement de travail. Ils rigolaient du moins Gojo faisait les blagues atroces et celle-ci pouffait de rire. C'était un moment de calme. Seulement la lune pouvait les entendre et c'était parfait.
« Je peux te parler d'adulte à adulte ? »
La demande de l'homme aux cheveux de givre interpella la blonde. Gojo qui lui semblait jamais sérieux avait un visage inexpressif devant elle limite mature.Elle se releva de sa position pour se mettre assise les jambes croisées afin de pouvoir être à la hauteur de l'exorciste qui en se relevant l'avait dépassé de trois têtes.
« Irina nous avons un problème dans le monde l'exorcisme. Ce n'est pas que je n'apprécie pas ta compagnie bien au contraire. Mais nous ne pouvons pas continuer à nous voir. J'ai peur de ressentir quelque chose pour toi. J'ai peur qu'ils te fassent du mal. C'est pour ça que je ne veux plus te voir. Même si tu trottes dans ma tête tout le temps je m'en voudrais toute ma vie si il t'arrive quelque chose sachant que tu as un avenir énorme devant toi. »
Les mots du blond résonnait comme un couteau dans le dos. Elle ne voulait pas vivre ça une nouvelle fois. L'abandon. Ça faisait bien quelques temps qu'elle essayait de revivre une vie amoureux ou bien amicale depuis la séparation avec son époux. Certain l'a rejeté car elle était trop vieille ou bien qu'elle ne pouvait pas avoir d'enfant. Et d'autres qu'ils l'utilisaient comme une femme trophée. Le seul homme qu'elle appréciait devait la laisser tomber pour son travail hors du commun. Merde. Fallait que ce soit un exorciste. Les larmes montaient après cette soirée lourde en émotion il lui faudra une séance chez le psychologue.
La seule réponse de Satoru aux larmes de la mannequin était le silence. Il ne savait pas quoi faire il était désarmé. Les sentiments et lui c'était comme deux aimants qui se repoussent. La jeune femme sanglotait de plus en plus fort. Il frotta la paume de sa main sur le haut du crâne de la jeune femme en signe de consolation avant de ramener sa tête contre son buste musclé. Il sentait la respiration de la femme se calmait et reprendre un rythme normal.
Il releva la tête de la femme afin qu'elle le regarde. Ils étaient tous les deux adolescents quand ils étaient ensemble et la discussion d'adulte se transforma rapidement en quelque chose d'enfantin. Car oui dans ce monde les adultes n'avaient pas de câlin ni de tristesse. C'était pour les enfants. Pour les gamins qui tombaient en jouant à la marelle. Pas pour les adultes qui devaient travailler et laisser leurs peines de cœur sur le côté.
Leurs regards se croisent. Le blanc adorait décrire la jeune femme comme une poupée de cire ou encore les poupées russes pour être dans le cliché. La blonde elle adorait le décrire comme un ange. Oui un ange. L'exorciste attrapa le dessous de bras de la jeune femme avant de la soulever comme une vulgaire feuille tellement l'homme était puissant. Elle enroula sa jambe autour de la taille du jeune. Cela la rendait folle de sentir les immenses muscles de celui-ci. Ils étaient fins et sûrement jolis à voir et tellement excitant à toucher. Cette pensée lui fit serrer les cuisses autour de la taille du jeune homme. Il sentait la poitrine de la femme contre la sienne. Il voudrait tellement mais tellement connaître son corps sur le bout des doigts réaliser ses fantasmes lui faire passer les meilleurs nuits de sa vie.
Après l'annonce qu'il venait de faire la femme ne voudrait sûrement pas le toucher avec un bâton. Mais les baisers de celle-ci sur son cou lui contaient l'inverse. Un frisson parcours le long du corps de l'exorciste. Il bascula sur l'avant du lit en entraînant la femme avec lui qui poussa un cri de surprise. Il la surplombait de son immense corps. Les joues de la jeune femme devenaient rouge. Le blanc lui retira son haut.
Des énormes pectoraux des abdominaux parfaitement tracés des énormes bras. C'était le physique parfait. En plus d'être beau l'homme avait une musculature digne d'Apollon. Les cheveux de l'homme retombaient sur son front qui collaient grâce à la sueur et ses yeux qui fixaient le visage de la mannequin. C'était la plus belle chose qui elle aurait pu voir dans sa vie.
« Donne moi la permission. » sa voix était rauque pleine de désir.
En guise de réponse la jeune femme joigna ses deux mains derrières le cou du jeune homme et le ramena vers elle afin de plaquer ses lèvres contre les siennes. Chaudes humides et douces.
