DBZ Lemon ~Bulma x Vegeta [Et si tu m'apprenais ?]~

Chap 12

Le lendemain matin, Vegeta se réveilla. Tard. Il était déjà presque midi. Ca faisait longtemps qu'il n'avait pas autant dépensé son énergie. De facon positive en tout cas. Il avait passé une très bonne soirée. Ca faisait aussi longtemps que ca ne lui était pas arrivé. Il se demandait si ce qu'ils avaient fait était une bonne idée. Il devait juste l'héberger le temps qu'elle trouve une solution. Mais il n'avait jamais pensé qu'il l'a prendrait sur son propre canapé.

Il se leva et quitta son lit. Après avoir donné l'orgasme à Bulma, elle s'était directement endormie après avoir repris son souffle. Il l'avait couverte avec la couverture et avait rejoint rapidement le bain pour aller dormir ensuite. Il était complètement lessivé après ca. Il n'avait pas envie de prendre une douche, mais il avait tellement sué qu'il n'aurait pas supporté de rejoindre ses draps juste après.

En arrivant dans le salon, il vit Bulma aux fourneaux. Elle se retourna en entendant ses pas.

-Bulma: Et bien, tu as bien dormi on dirait.
-Vegeta: Tu es levée depuis longtemps ?
-Bulma: Il y a trois heures. J'ai bientot fini le repas.

Aucun des deux ne savaient comment se comporter avec l'autre. C'était que du sexe la veille. Mais est ce qu'ils devaient agir comme s'il ne s'était rien passé ? Ou en parler ? Et si l'un d'eux devait en parler, lequel devait le faire ?

Il hésita avant de s'approcher d'elle pour voir ce qu'elle faisait. Elle était en train de cuire deux morceaux de steaks et préparait des pommes de terre sautées. Il en avait l'eau à la bouche.

-Vegeta: Désolé de m'être réveillé si tard.

Elle secoua la tête sans la lever de sa poêle.

-Bulma: Ne t'excuse pas. Ca prouve qu'on... *rougit* s'est bien amusés... D'ailleurs... Merci pour hier soir. Et désolée, je ne voulais pas que ce soit vu comme un caprice...
-Vegeta: Je n'ai pas vu ca comme ca. Tu n'as pas à t'excuser non plus.
-Bulma: *rougit* Je... Je maintiens toujours ce que j'ai dis hier soir.
-Vegeta: De quoi ?
-Bulma: Je veux apprendre.
-Vegeta: T'étais sérieuse ?
-Bulma: Oui, je crois. Enfin j'y ai réfléchis encore une fois. Et je suis sérieuse.
-Vegeta: T'es en train de me demander d'être... "Ton maitre de la baise", un truc dans le genre ?
-Bulma: *soupir* Il n'y a que toi pour penser à des choses comme ca...
-Vegeta: Je dis pas non. Mais ca te sert à quoi ? Tu comptes redevenir une pute ?
-Bulma: Non. C'est juste... C'est une revanche que je veux prendre sur moi même. Yamcha et ces hommes m'ont humiliés parceque je ne savais rien faire. Enfin, je n'osais rien faire. Alors si au moins j'apprenais ce genre de choses, je me dis que ca sera quelque chose de fait, qu'au moins, Yamcha regrettera de m'avoir perdue...

Vegeta s'approcha d'elle et la fit reculer jusqu'au comptoir de la cuisine.

-Bulma: *rougit* Le f... !
-Vegeta: La raison est aussi débile que tu es belle.
-Bulma: Qu... ?
-Vegeta: Ton Yamcha en aura rien à branler. Il t'a déjà oublié depuis la dernière fois. *sourire en coin* Mais si tu as besoin de cette raison, je te l'accorde, ca m'arrange.
-Bulma: *rougit et tourne la tête* A... Arrête de dire des bêtises... Je dois m'occuper du repas...

Vegeta s'éloigna pour la laisser terminer son plat. Leur relation avait finalement évoluée. Mais elle allait surement devoir s'en aller un jour. C'était le plan. Et pourtant, ca n'avait pas l'air de partir dans ce sens la. Au contraire, c'était comme si elle allait rester beaucoup plus longtemps que prévu. Et est ce que ca plaisait à Vegeta ? Oui. Assez. Il n'était pas un homme qui avait une soif du sexe, il pouvait bien s'en passer pendant des années, mais il ne disait pas non à cette situation. Mais de l'autre coté, elle ne pouvait pas rester éternellement. Il avait un mois devant lui avant de reprendre les missions de l'agence noire. Peut être qu'elle s'en ira avant. Mais elle ne devait pas rester lorsqu'il reprendra les missions. Qu'est ce qu'il pourrait lui dire ? Il ne pouvait pas lui parler de l'agence noire. Elle était trop pure pour son monde. Elle ne pouvait pas savoir qu'il était capable d'accomplir les pires missions pour l'argent.