De l'air humide dans la trachée,
Et les cheveux dans le vent,
Comme les branches dansantes des pins, qui souvent,
Laissent échapper de leur sève, des saveurs sucrées.
Les pieds nu sur le sable humide,
L'eau claire qui caresse les coquillages
Dont le beau vas et vient fluide,
Nous rappel nos fous enfantillages.
À la surface, des paillettes de soleil
Que la douce lumière d'une journée chaude,
A déposé sur la peau froide de l'océan
Les vagues, elles, dans leur bruyante symphonie,
Par leur tendre bruit, nous plonge dans la mélancolie
D'un bateau naufragé,
Et arrête le flot continue, de ma pensée
--- Aube
VOUS LISEZ
Gribouillage
PoetryRecueil de poèmes et autres textes. En espérant que ça fasse rêver les lecteurs.