Gribouillage

parfum d'été

Je préfère écrire que laisser le vide m'envahir, même si je sais pertinemment que ça n'empêchera pas mes larmes couler. Je ne sais même plus ce que je ressent.

On va tous partir sur des chemin opposés. On va se quitter. Cette simple pensée me ronge de l'intérieur. Je veux qu'on reste ensemble à jamais. Revivre tout ces souvenirs. Mais c'est le présent qui les rend si beaux. Je chiale rien qu'a cette idée. Je ne veux pas partir, mais je ne veux pas non plus rester. J'en reviens encore et encore à la même solution. Figé le temps. S'évader, prendre un bateau et partir au larges sans s'arrêter.

Je devrais relire tout mes livres de poésie. Les relire et chialer.

Le soleil qui jaunis ma fenêtre m'insupporte. Les nuages me donne le cafard. L'avenir me fait plus peur que jamais. Ma vie est un grand bordel malgré mes effort pour la garder en ordre.

Je vous aime tellement.

Ces moments avec vous me manque déjà. Je ne vous l'ai jamais dit.

Je vous aime.