chapitre 3

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Cela fesait près d’un mois que Link et Zelda vivaient ensemble. L’hiver était arrivé. Nos deux protagonistes étaient tranquillement en train de se reposer près du feu, quand soudain, la porte fut ouverte à grand fracas et quelqu’un entra dans la maison.
« NON MAIS ON TOQUE AVANT D’ENFONCER LA PORTE ! Hurla Zelda. VOUS ÊTES QUI D’ABORD !?
-Bah c’est moi. Dit l’inconnue
-Qui ?
-Bah Pru’ha.
-Hein?! »
Pru’ha était une éminente scientifique du clan Sheika qui connaissait Link et la princesse depuis avant l’époque du fléau. Elle est donc plutôt vielle. Mais, suite à une de ses expérience, elle avait jusque-là été rajeunie au point d’avoir une apparence d’enfant. Sauf que la personne qui se présentait devant eux était tout sauf une enfant, c’était une jeune femme.
« Mais...qu’est ce que…tu étais pas comme ça la dernière fois que je t’ais vu ! Dit Zelda.
-Normal, j’ai réussit à modifier le processus, et désormais, j’ai récupérer mon corps de jeune femme.
-Mais c’est super ça !
-Et encore tu n’as rien vu ! J’étais venu pour te montrer ceci. »
La scientifique déposa de mystérieux artefact sur la table.
« En explorant le château d’Hyrule, les équipes archéologiques on décelé ce-ci. Dit Pru’ha.
-Ça ne semble pas être sheika, c’est quoi ? Demanda Zelda.
-Je me demande si ça ne serait pas Sonneau.
-Sonneau ?! Le légendaire peuple venu des cieux ! Tu penses vraiment ?!
-Il faudrait explorer les souterrains du château.
-C’est un vrai labyrinthe, ça va être compliqué.
-Nos équipes construise un fort en face des ruines de la forteresse d’Hyrule. Tu pourras me retrouvé là-bas dans quelque temps.
-D’accord, je te dit merci pour toute ces infos. Sans toi, la reconstruction du royaume serait vraiment compliqué.
-Mais de rien !
-Par contre, si tu pouvais ne pas défoncer la porte la prochaine fois que tu viens.
-Nan
-…..ok »

Une fois Pru’ha partit, Zelda dit à Link
« Je vais aller dans le puit. Je sais qu’il fait beaucoup trop froid pour y rester mais je doit absolument étudier ces artefact. »
Le chevalier pris soudain peur pour elle. Il essaya de la contenir pour l’empêcher de sortir dehors en plein hiver et en plus le soir ! Mais rien ne pouvait retirer  l’idée fixe de la princesse. Elle sortie avant même que Link put lui donner des vêtements chauds. Il ne pouvait qu’attendre que la princesse revienne en espérant que tout ce passe bien.

Plusieurs heures plus tard, Link qui n’avait pas réussit à fermer l’œil à cause de son inquiétude pour la princesse fessait les cents pas. Zelda avait toujours été passionné mais il ne pensait pas que c’était à se point là ! Il avait peur. Peur que la femme qu’il doit protéger souffre une nouvelle fois ou meurt. Le héros, contrairement à ce que tout les gens pensait, avait toujours eu des angoisses. La peur de faillir à sa mission, la peur d’échouer, la peur du vide conséquent laissé dans ça mémoire, la peur de l’immense monde à découvrir en sortant du sanctuaire de la renaissance… Désormais, il avait peur pour la princesse. Elle est la chose qui compte le plus à ses yeux, sa raison de vivre, en partit par sens du devoir mais également parce que le plus vieux souvenir qu’il est récupérer, n’est d’autres que ça rencontre avec elle. Pour lui, perdre Zelda, ce serait comme perdre ça raison de vivre. Il se décida alors à braver l’interdiction qu’elle lui avait donné, c’est à dire, ne pas aller dans le puits.

Habillé de sa meilleur tunique piaf, le jeune homme sortit de chez lui puis descendit  l’échelle du puits. Il vit une Zelda endormit sur son bureau, dans le froid. Il s’approcha d’elle, elle était glacial et avait de la fièvre. Il s’en voulait, si il avait rien qu’une seule fois ouvert la bouche, si il n’avait pas attendu aussi longtemps, sa princesse ne serait pas dans cette état
«Je suis désolé » murmura t’il les larmes aux yeux.
Il prit la princesse sur ses épaules puis la porta vers la maison.

Une fois arrivé, il l’installa sur une chaise. Se dépêcha de préparer un remède pik-pik, puis le versa délicatement dans sa bouche. Il se demanda comment faire pour  réchauffé la princesse pendant la nuit. Il ne pouvait pas la laissé par  terre dans un sac de couchage ! Mais il n’y avait qu’un seul lit dans la maison ! Et puis il fallait bien veiller sur elle ! D’un autre côtés, il était fatigué à cause du travail ! Le héros manqua de hurlé à cause du stess mais se ressaisit pour ne pas réveiller Zelda

Le lendemain matin, Zelda se réveilla tendrement. Elle avait un léger mal de crâne et se demandait ce qu’il c’était passé. Elle remarqua soudain qu’elle était dans un lit, enlacé par les bras d’un homme.

La princesse et le garçon qui ne pouvait parlerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant