La princesse et le garçon qui ne pouvait parler

Chapitre 4

Link fut subitement réveiller par un « serious punch » un plein dans sa mâchoire qui le fit en plus tombé du lit.

« MAIS QU'EST CE QUE TU ÉTAIS EN TRAIN DE FAIRE !? » hurla Zelda

« TU...TU...qu'est ce que tu a fait pendant que je dormais !?

-...

-RÉPOND MOI !

-......

-nghflsb.... SORS D'ICI ! »

Le jeune homme se leva, se dépêcha d'enfiler une tunique Piaf puis partit de la maison.

Zelda, désormais seule, remarqua qu'elle avait un gros mal de tête. Il lui restait en effet un peu de fièvre. Elle s'assit dans le lit, puis retomba de fatigue.

Elle rêvait. Dans ces rêves, elle vit le château d'Hyrule, mais ce n'était pas la ruine peut rassurante que la plupart des gens du présent connaissait, c'était le château t'elle qu'il était il y a cent ans. Un lieu majestueux. Zelda était redevenu enfant. Elle courait sur les mur d'enceinte, échappant à ces professeurs. Elle couru, couru, arpenta tout le château puis sorti par la porte principal. Elle était partie tellement loin qu'elle arriva dans le petit bourg de la forteresse d'Hyrule ou' se tenait le marché. La petite fille se faufila au milieux des étales et de la foule. Puis, elle se cogna contre un garçon.

Les deux enfants se retrouvèrent au sol. Le garçon avait la particularité d'être habillé tout en vert et avait une fée qui lui tournait autour.

« Hum...désolé. Dit la princesse.

-Pas de souci. Lui répondit le garçon.

-Attend... tu parles ?

-Bah oui. Pourquoi je parlerais pas ?

-Parce que... tu ressembles étrangement à un autre garçon que je connais mais qui est muet.

-Bah, j'ai jamais vraiment aimé parler mais je suis pas muet. »

Soudain, un groupe de garde royale arrivèrent sur la place.

« Oups, je dois y aller ! dit Zelda.

-Attends, viens avec moi.

-Pourquoi ?

-Tu cherches à les fuir n'est ce pas ?

-Hum... oui.

-Bah suis moi. »

Les gamins se faufilèrent et sortirent de la forteresse. L'enfant à la fée en vert pris Zelda par la main et l'emmena dans un bois.

« Tu m'emmène ou' ?! demanda t'elle.

-Tu vas voir. Lui répondit le garçon. »

Quelque minute plus tard, ils s'arrêtèrent au milieu des arbres. La présence de la nature fit du bien à la princesse qui ne connaissait jusqu'ici principalement la pierre du château.

« Alors, c'est bien n'est ce pas ? Demanda t'il.

-Oui. Dit elle

-Une princesse comme toi ne doit pas souvent sortir.

-Non, malheureusement.

-J'ai été élevé dans une forêt. Je suis dans mon élément au milieu des arbres.

-J'ai crue comprendre.

-Et encore tu n'as pas tout vu. VOUS POUVEZ VENIR

Soudain, des korogus, de petits êtres peuplant les bois apparurent. L'une d'elle un petit peu plus grande que les autres mais visiblement encore une enfant sorti des maracas et se mis à joué de la musique. Elles se mirent toutes à danser et à balancer des feuilles sur Zelda. La fille se mit à rire. Un moment de bonheur simple mais tellement revigorant.

Soudain le garçon dit à Zelda :

« N'abandonne pas Link, il a besoin de toi. »

Zelda se réveilla. Ce rêve avait paru tellement réaliste. Elle se souvint enfin de la soirée de la veille et de son idée stupide d'aller dans le puits. Elle compris que si Link l'avait enlacé et dormi avec elle, c'était dans le seul but de la réchauffé et de veiller sur elle. Quand il partit, il avait les larmes au yeux.

Elle se sentait imbécile de l'avoir disputer. Il fallait à tout pris s'excuser.

Elle se dépêcha d'enfiler des vêtements chaud puis sortit de la maison en courant. Elle entendit soudain une musique. Zelda se laissa guidé pour retrouver son chevalier servant, assis sur un tronc d'arbre, au bord de la falaise proche de la maison. Il jouait de l'ocarina.

« LINK » appela Zelda.

Elle se rapprocha de lui. Le jeune homme détourna la tête pour ne pas que la princesse puisse voir ses larmes. Mais, Zelda savait très bien se qu'il essayait de faire. Elle pris la tête de Link dans ses main puis la tourna vers elle.

« Link, je suis désolé. » Dit elle en larmes. « Désolé pour tout ce que tu as subi à cause de moi. »

Leurs lèvres n'avait jamais été aussi proche.