Jensen Sanderson :dans l'ombre de mon démon

PROLOGUE Et LE CHAPITRE 1

À tous ceux qui ont été victimes d'un crime,
Et surtout, faites attention. Ils sont partout, vous pourriez même en être un, qui sait, un serial killers !!

Cette histoire est fictive,
Pour un public averti de 18 ans et plus

Je me souviens parfaitement de son arrivée au lycée comme si c'était hier. Il était arrivé au dernier trimestre de l'année, ce que j'avais trouvé étrange puisque personne ne débarquait à cette période de l'année alors qu'il ne restait que trois mois avant les vacances d'été.Il est rentré dans la classe alors que nous étions en train de suivre un cours d'histoire.

Le professeur Gleason s'est arrêté soudainement de parler lorsqu'il a vu la directrice arriver dans la classe."Bonjour, Directrice Harding," dit-il d'un air étonné. Il était là devant moi, un garçon plutôt grand, aux cheveux blonds châtains et aux yeux bleu océan. Mais surtout, son visage d'ange était un mélange de l'acteur Neel Visse et du top modèle Lucky Blue Smith.Monsieur Gleason le regardait se diriger vers son siège. Il passa la première, la deuxième et la troisième colonne. Oh mon Dieu, il était assis juste à côté de moi. Il dégageait une aura mystérieuse, effrayante mais surtout inquiétante.

Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment-là, je ne le savais pas encore, mais il m'attirait déjà. Il m'a regardé et m'a dit bonjour, je suis Jensen Sanderson, tout en esquissant un sourire .Le 13 octobre, dans la ville de Cleveland, une semaine avant, j'étais allongé sur le divan jaune rétro de ma psychiatre. Cela faisait déjà deux bonnes heures que j'y étais couché.Je n'avais encore rien dit depuis que j'étais arrivé. Le docteur Hocking me voyait déjà depuis une semaine, car ma mère trouvait que j'avais un comportement inapproprié pour mon âge. Alors elle m'a envoyée suivre une psychiatre spécialiste des problèmes d'adolescence.

Il faut croire que je n'ai aucun problème. Oui, ma mère m'élève seule après que mon père nous ait abandonnés quand j'avais huit ans. Il est maintenant marié à une femme de vingt-huit ans qui est enceinte de leur premier enfant. À part cela, je n'ai aucun problème.La psychiatre me regardait avec ses petites lunettes rondes vintage vertes des années 70. Elle dit d'une voix douce : "Alors, Jensen, qu'est-ce qui se passe dans ta tête ? Tu n'es pas obligé de tout me dire aujourd'hui, mais j'espère que tu vas te confier à moi. Cela fait déjà une semaine que nous nous voyons et il nous reste seulement dix minutes pour cette séance aujourd'hui."

Je la regardai et me mis à rire. Je suis ici seulement pour faire plaisir à ma mère, d'accord ? Elle me regarda en souriant et répliqua, "Tu peux me dire tout ce que tu veux, Jensen. Ça reste confidentiel."Je lui répondis "D'accord, je vais jouer le jeu alors. Pour commencer, je crois que je fais des crises de dédoublement de la personnalité. Ça a commencé quand j'avais huit ans. Elle me regardait avec son expression faciale de psychiatre. Très bien, on avance, Jensen," dit-elle.

Je lui répondis avec sérieux : "J'ai l'impression qu'on est trois dans ma tête." Elle me regarda et ajouta : "Quand tu dis que tu crois être trois dans ta tête, qui sont ces personnes, Jensen ?"Je la regardais avec mon air ténébreux et lui racontais qu'il y avait moi ensuite Aaron, un jeune homme de vingt et un ans timide et réservé, qui ne ferait jamais de mal à personne. Et il y avait celui que j'avais le plus peur, un homme dans la trentaine, le docteur Hocking, qui me regardait captivé parce que je lui racontais : "Pourquoi as-tu peur de lui ?"
Je regardais la psychiatre choquée et tout à coup j'ai eu une larme qui s'est mise à couler sur ma joue. Il est méchant, monstrueux avec les filles et il n'a aucun remords ni sentiments. Je dirais même qu'il n'a aucune âme.Quand il prend possession de mon corps et que par la suite je reviens à moi, je ressens de la peine, de l'angoisse, voire même de la colère, car j'ai l'intuition qu'il a utilisé mon corps pour commettre un drame affreux.