chapitre 3.04

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Une sensation chaude était sur la main de la blonde. Elle avait commencé à ouvrir un œil, il faisait sombre dans la chambre, très sombre. Il faisait nuit dehors. Elle était désorientée.

-"ça y est... Tu te réveil ?"

La capitaine avait tourné la tête en ouvrant les yeux en grand. Elle avait retiré sa main.

-"Papa ?"

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-"ça va kiddo ?"

-"Lane qu'est-ce que tu fais là ?! Où... Où... Où est ma femme ? Qu'est-ce que tu fais là ?"

-"j'ai appris aux informations ce qu'il t’était arrivé. Je suis ton père, j'aurais aimé être averti"

-"arrête tu ne-"

-"j'ai vu tes filles. Victoire et Juliette."

-"elles... Elles... Elles vont bien ?!" Fit-elle en ayant les larmes qui lui étaient montées aux yeux.
"Et ne les appelles pas comme ça ce n'est pas leur prénom..."

La chambre était toujours plongée dans la pénombre, Lane avait avancé son visage et Maya avait l'impression de voir en face d'elle le Joker. Il avait eu un sourire qui lui avait donné les frissons dans le dos.

-"c'est le prénom qu'elles auront quand je les aurais amenées avec moi"

Maya avait commencé à se débattre, mais tout son corps lui faisait mal, elle était bien plus clouée au lit qu'elle ne l'imaginait.

-"tu n'as pas le droit ! Tu n'as pas le droit ! Ce sont mes filles !!! Ce sont mes enfants !"

Le rire diabolique de Lane raisonnait dans sa tête.

*/Réveil/

*-"Maya ! Maya ! Réveil toi"

La blonde avait ouvert les yeux. Elle était sur la chaise. Elle avait ouvert les yeux et Charlie était en face d'elle. Elle avait regardé partout dans la chambre. Il faisait nuit. Carina dormait à ses côtés comme la veille. Il était plus de quatre heures du matin.

*-"Lane !"

*-"tu as dû faire un cauchemar. Il n'est pas venu"

*-"s-s-si, il, il, il était là... Il, il, il voulait voler Giulietta et Vittoria."

*-"non, tu as dû faire un cauchemar. Mamma t’a parlée d'elles il y a une demi-heure... Ton cerveau a du tout mélanger"

*-"mais pou-pou-pourquoi j'ai, j'ai autant dormi ?"

*-"Maya, je t'ai dit, tu n'es plus dans le coma... Ton corps a besoin de repos. Tu as besoin de repos maintenant."

*-"attends... Carina m'a parlée de nos filles ?" Fit-elle en coupant Charlie.

*-"oui"

*-"donc... Elles... Elles... Elles vont bien ?" Demanda-t-elle les larmes aux yeux.

*-"tu dormais, mais tu as eu conscience qu'on t'en parlait... Elle t'a dit quoi ?"

La Réunion : per Sempre Où les histoires vivent. Découvrez maintenant