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Aujourd'hui, J'ai décidé qu'il était temps de partir. Il était temps pour moi de disparaître. Il devenait très difficile de supporter Les multitudes abus de Dolorès. L'atmosphère qui devenait insupportable Ainsi que tout ce que je ressentais en moi. Je n'ai jamais autant pleuré la nuit. Je n'ai jamais autant prié la nuit. Il fallait que je fasse un choix difficile.
La plage est vide. La mer est calme. Le soleil brille. Le vent est chaud. Arès est là. Ce fut à mon tour de l'observer. Ce fut à mon tour de l'admirer. Il avait mis ses cheveux en arrière. Quelques cheveux flottants sur ses yeux. Qu'est-ce qu'il est effroyablement beau. Il était à coupé le souffle.
- Heaven qu'est-ce qui ne va pas ?
Silence. Les flots de la mer mugissent. Mes larmes prêtent à couler. Incapable de répondre à cette question. Les mots sont limités pour décrire Ce que je ressens dans mon coeur.
Il posa sa main sur ma joue. Il me regarda avec une pointe d'inquiétude. Moi je m'agrippa à son poignet. Je me blottis entre le creux de sa main.
- Je dois rentrer Arès.
Les vagues s'affolent. Mon cœur est près exploser. Avant même qu'il ne réponde. Je l'embrassa pour une dernière fois.
De retour à la maison. Il n'y a avait ni mon père ni dolorès. J'ai pris toute mes affaires. J'ai rassemblé toute mes économies. Je me suis enfuit pour la capitale. C'est à la gare que je m'effondra. Plus tranchante qu'un couteau La douleur me transperça. La peine était tellement intense que Mon corps tout entier trembla. Je m'étouffais entre mes sanglots. Je pleurais tout ce qui resta de moi. Arès
Oh que je m'haïssais. Oh que je me détestais. Qu'est-ce qui me différenciait de Dolorès ? J'ai blessé la seule personne qui me reste.
