Chapitre 25 : Moi aussi je t'aime !

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   Lorsque ses sens commencèrent à revenir, Zuma ne parvint pas tout de suite à ouvrir les yeux, il se sentait encore trop épuisé de tout ce qu'il lui était arrivé jusqu'à présent, néanmoins il sentit une source de chaleur très agréable tout près de lui, une couverture toute douce enveloppé autour de son corps, mais ce n'était pas tout, il sentit également qu'il était allongé contre une personne, une femme pour être précis, car il put percevoir des battements de cœur juste en dessous de son oreille. Cette dernière lui caressait tendrement la tête, les oreilles et le dos, tout en tenant sa patte droite de son autre main.

La femme fredonnait un petit air, ressemblant à une berceuse et Zuma ressentit un sentiment de bien-être intense, cette humaine le berçait et le caressait comme une maman, avec beaucoup de douceur maternelle, mais ce qui le tira de sa torpeur fut une douleur pulsative au niveau des coussinets de sa patte avant droite, celle que la femme tenait doucement. Il grimaça et se mit à bouger, avant d'ouvrir difficilement les yeux, mais tout était flou autour de lui.

-Oh ça y est, tu es réveillé ? Lui dit tendrement la femme.

Le chiot sauveteur en mer mit un moment avant que sa vue ne redevienne net et le visage d'une femme rousse aux yeux verts, ayant dans la trentaine et souriante lui apparut. Zuma se sentit un peu embarrassé, en se rendant compte qu'il reposait contre son ventre et sa poitrine (normal qu'il se sentait bien confortable), mais la femme rousse ne fit même pas attention à sa réaction, elle continua de le bercer contre elle.

En regardant autour de lui, il se rendit compte qu'il se trouvait dans un grand lit à baldaquin, rempli de draps soyeux cousue aux fils d'or pour la plupart, dans une grande chambre richement décoré, haute de plafond, d'où un lustre en crystal pure pendait dans le vide, signe qu'il se trouvait chez des personnes très fortunés. Zuma baissa ensuite son regard en direction de la femme rousse et l'a détailla minutieusement du regard : elle était très maquillée, ses cheveux étaient relevé en une coiffure imposante et très sophistiqué, typique du 18-ème siècle et chargé de ruban coloré, elle portait aussi une large robe tout en volants et en dentelles, très décolleté au niveau de ses seins, les manches qui s'arrêtaient à la jointure de ses coudes formaient de larges dentelles très travaillé et des bijoux hors de prix, tous fait de rubis et de diamants terminaient son ensemble. En bref, la tenue typique d'une femme aisée du 18-ème siècles.

-Vous... vous êtes qui, vous ? Marmonna-t-il difficilement, avec le sentiment que sa gueule était pâteuse.

-Je m'appelle Martha Norrington, répondit la rouquine, mon mari est le Gouverneur de la Grande-Vallée !

-Je m'appelle Martha Norrington, répondit la rouquine, mon mari est le Gouverneur de la Grande-Vallée !

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   Le chiot se massa la tête, tout en fronçant les sourcils, suite à la réponse de sa sauveuse.

-Gouverneur ? Répéta-t-il. Mais... ce titre n'existe plus aujourd'hui, les gouverneurs étaient des gens de la classe des nobles, désigné par les souverains de nations, pour dirigé des îles et des contrés d'Amérique du Nord et du Sud, ce continent que les gens du 18-ème siècles nommé le « Nouveau Monde » !

Pat Patrouille - Tome 5 ⚓️ : Zuma au Temps des PiratesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant