2.Orfanotrofio

133 9 2
                                    






















C H A P I T R E
2





























15Novembre 2015

Raffaella

Mes petites jambes qui suporte mon petit corps lourd. Ma main qui tient ma valise et de mon autre main je tient mon doudou. L'arbre qui me protège de cet orage effrayant.

Plus les éclairs sont forte plus je recolle messieurs l'éléphant sur mon corps. La dame à côté de moi qui attend comme un pion d'échec me faire sourire. Une auto, ou plutôt une énorme auto noire arrive. Les fars qui m'aveuglent. Je crois qu'elle ne s'arrêtera pas comme les précédentes.

Mais elle s'arrêta juste en face de moi. Les gouttes de pluie qui coulent sur les vitres m'empêchent de voir qui se trouve à l'intérieur.

La porte s'ouvre, mais seulement un pied en sort. Un après l'autre l'inconnue décide de sortir du véhicule. Un grand homme avec un parapluie qui couvre son visage. Il a une veste noire qui s'assort avec son pantalon. Il s'approche de moi.

Lorsque je distingue parfaitement c'est trait physique je recule de quelques pas dû à la surprise et sûrement à la peur.

Ses cheveux sont plutôt remplacés par plein de tatouages de tête de mort ce qui me fait grimacer de jugement. Sa main qui tient le parapluie a énormément de veine.

Je dois lever ma tête mais pour finalement n'y trouver rien, du vide. Il ne me fait aucun sourire. Il est glacial.

Il prend ma valise et repars en direction de sa voiture. Je me retrouve vers la dame et elle me sourit tristement.Elle me donne un bisou sur mon crâne et elle repart avec sa longue robe qui traîne dans la bout.

Je me retourne vers la voiture. Je m'avance dans des pas hésitant. Les gouttes de pluies viennent rapidement trouver mes cheveux noirs.

L'homme tatoué m'ouvre la porte et repart à l'avant pour s'assoir à l'avant. Je m'assois dans cette magnifique auto noir brillante.

Les sièges en cuir qui sont très confortables pour mes fesses et ceux de messieurs  l'éléphant. Je finis de fermer la porte et l'auto repart rapidement. J'ai l'impression que mon corps se jette à l'arrière.

Je regarde l'homme à travers le rétroviseur. Il me laisse aucun regard. Comme si il étais inintéresser par moi.
Je dépose ma tête sur le rebord de la portière. Le bruit du moteur me relaxe.

Nous arrivons devant une grande maison au bois brun. Un vieux manoir abandonné . Des murale devant la porte d'entrer, des vitres qui sont difficiles à apercevoir. Le Jardin où se trouvent des arbres en forme de dessin.

La porte s'ouvre sans même que j'ai remarqué. Je sors de cette voiture et souris à l'homme qui m'a ouvert, ce qui me vaut un regard froid de celui-ci. Je suis mon oncle de quelques pas et rentre dans la porte d'entrée pour y retrouver ma valise et mon oncle....

-Ta chambre est en haut sale mioche dit-il avant de partir.

C'etais la première fois que je l'entendais parler. Et j'aurais préféré ne jamais l'entendre. Elle est glaciale, sans vie. Elle est de la même caractéristique que son physique. Il imprime de la peur. Son accent italien me faisait peur.

-Je m'appelle Raffaella et non mioche Monsieur dis-je de ma petite voix innocente.

L'homme s'arrêta dans sa marche. Il se retourna et avança encore plus vite pour venir à ma hauteur. Dans ses yeux je pouvais remarquer le dédain pour ma personne et son envie de meurtre.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Feb 25 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

The beauty of the revenge Où les histoires vivent. Découvrez maintenant