J'ai vingt ans. Je m'appelle Pierre-Camille, j'ai une vie plutôt banale. Des amis, une famille, des collègues de travail, des collègues bénévoles. Mais je crois que pour comprendre, il faut plus que cela. Dans les vingt-neuf jours précédents, par un mot de ses écrits est faux, j'ai écrit ce que je voyais, comment je voyais les choses. Il m'arrive de rajouter des détails, des figures de style très importantes, pour permettre de garder l'anonymat de certaines personnes, à certains moments.
Mais pour comprendre le comment, cela se fait-il que des évènements qui se sont produits il y a déjà de très nombreuses années soit toujours aussi clair et précis en tête, eh bien voilà.
J'ai un neuroatypie, souvent les gens n'y connaissant rien par le de handicap, ou de handicap mental, d'autre son plus précis en parlant de handicap invisible ou encore trouble du spectre de l'autisme. Mais j'aime dire qu'il s'agit d'une neuroatypie, c'est plus précis, sans dire que c'est de l'autisme de type asperger, cela ne précise pas, que le quotient intellectuel doit être de plus de cent-quinze, cent-trente en moyenne calculé pour moi, pour une moyenne française de quatre-vingt-dix-huit. (Pour plus de renseignement, je vous laisse chercher sur internet les détailles selon l'échelle qu'aurait créé monsieur Alfred Binet).
Je suis homosexuel, même si j'aurais dû et j'aurais pu m'en rendre compte bien plus tôt, je ne m'en appercu qu'a l'âge de mes seize ou dix-sept ans, lors de ma rencontre avec un gay, qui m'a très attiré. C'est devenu un collègue, puis un monstre, odieux et horrible, qui m'a provoqué de nombreuses migraines. Ca a été assez difficile et long à avouer, et annoncer à ma famille, même si ma mère, je lui avait déjà dis que j'étais bisexuel, mais tout de même. Et je sais que ce "chiche" m'a bien aidé à l'exprimer à tous.
Je suis cette personne qui se fera toujours avoir, car vouloir aider tout le monde n'est pas forcément une très bonne idée, surtout quand cela est une vocation, car chaque instant de ta vie est rimé avec le timing des personnes qui m'entourent. Enfin voilà.
Tout cela pour dire que je suis une personne lambda, avec une vie un peu particulière, mais que chacun de mes mots est pesé pour ne pas déséquilibrer la balance, pour ne choquer personne, ou en tout cas, le moins possible.
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Ecriture poétique - Premier
KurzgeschichtenPeut être considéré comme une nouvelle ! Ou alors vous pouvez le voir comme une poésie, un poème. C'est à vous de voir. A l'origine, c'est un défi que nous nous sommes mis à plusieurs. Ecrire tout les jours pendant 30 jours, pour se sentir mieux. ...