Je ne saurai pas vous dire comment j'ai pleuré de joie j'étais tellement impatiente, pourtant au fond de moi je l'aimais pas mais c' etais juste la culpabilité que j'avais.Toute la nuit, j'étais réveillée je voulais tellement le voir, et c'est à 3h du matin que j'ai entendu sofyan toquer à la porte
Sofyan : Ça va ?
Selma : hmm
Je me suis mises à trembler, J'avais tellement de question à poser, et la seul chose dont j'avais aussi envie étais de serré quelqu'un dans mes bras, et c'est se que j'ai fait à sofyan parce que c'était le seul à qui je pouvais
Sofyan : je t'aime w'Allah tu peux pas comprendre
Selma : je sais pas si je t'aime moi sofyan, j'ai aucun sentiment pour toi
il m'a regardé les yeux brillants et il m'a tendu une lettre .
Sofyan : lit la s'il te plaît selma
J'avais les mains tremblantes, j'avais peur de lire et je ne savais pas pourquoi.
j'ai déplié lentement la lettre qu'il m'avait tendue.
L'écriture de sofyan était soignée, presque appliquée avec 0 faute c'est comme si il avait passé des heures à choisir chaque mot.
La seule chose dont je me souviens de la lettre c' était "Selma, j'ai jamais été autant heureux que depuis que ta voix à résonné dans mon oreille"
Les larmes me montaient aux yeux pendant que je lisais cette douce de lettre,
quand j'ai fini de lire la lettre j'ai levé mes yeux vers son visage ..
Son visage c'était une mosaïque d'émotion que j'avais du mal à déchiffrer
Selma : jamais de ma vie un homme m'a donné autant d'amour. Je ne savais pas que tu m'aimais autant comme ça
Sofyan : J'ai toujours essayé de le montrer selma, mais toi tu vis dans le dénis tu prends rien au sérieux.
...
Jetais tellement faible ce jour là, j'étais fatiguée ça faisais tellement longtemps que j'avais pas mangé ni dormi, je tremblais de partout et je m'étais même mise à pleurer
Sofyan : va manger un coup et n3ass tu peux pas rester comme ça
J'ai secoué la tête, j'étais incapable de parler à cause de mes sanglots
Sofyan : viens fait moi un câlin avant de te coucher
Je me suis laissée aller contre lui, et je sentais la tension partir de mon corps chaque seconde dans ses bras
Après quelques minutes il m' accompagna jusqu'à mon lit et c'est même lui qui a posé la couverture à mes côtés
Sofyan : reste ici je vais chercher des gâteaux dans ta cuisine
Je l'observais les larmes continuant de couler mais cette fois avec moins de désespoir.
Comme il me connaissait par cœur il m'avait ramener mes gâteaux préférés, les BN au chocolat