𝕷'𝖆𝖑𝖑𝖎𝖆𝖓𝖈𝖊 𝕴𝖓𝖆𝖙𝖙𝖊𝖓𝖉𝖚𝖊 ☯︎ 𝕷𝖔𝖈𝖐𝖟𝖎𝖊 ☯︎

Chap 2: Chandra Bahadur

{ 𝟼𝚑𝟹𝟺 }
𝚃𝚎𝚛𝚛𝚒𝚝𝚘𝚒𝚛𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝚕𝚘𝚞𝚙𝚜

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??: Lucas , Lucas réveilles toi !

Après quelques appels je réussis à m'extirper de mon sommeil.
Je fut surpris de constater que je me trouvais non pas dans ma chambre mais sur un lit d'herbes utilisé habituellement par les loups pour dormir.
D'ailleurs deux me surplombaient l'air inquiet.

Moi: Euh . . . Que ce passe t'il ?

Un de mes ami nommé Niagara ( NDL: c'est ma cousine qui m'a tanée pour ce nom, désolée si il est pourri ) prit la parole .

Niagara: Lucas , je sais pas ce qui se passe mais pleins d'humains masqués arrive dans la forêt !

Mes yeux s'écarquillèrent de surprise.

Moi: Masqués dis-tu ?

Cette fois ci ce fut ma meilleure amie ,Acéso qui déclara.

Acéso: Lu-Lucas il faut que tu y ailles !
Ils n'arrêtent pas de crier des choses incompréhensibles .

J'hochai la tête et partis en courant, suivi de ma meilleure amie.

Pendant ma course, je repensai à l'homme que j'avais épargné.

Et si... c'était lui ? S'il m'avait dénoncé ?!

Oh croyez moi que je vais le dégommer si c'est le cas !

Mes pas devinrent plus précipités. Ce n'est que lorsque nous arrivâmes très proches des bipèdes que je pris le temps de respirer et d'écouter ce qu'ils disaient. Comme je m'en doutais, ils me cherchaient. Enfin, pas vraiment, car ils ne savent pas que c'est de moi qu'il s'agit quand on parle de cette entité qui terrorise les humains de cette forêt.

Acéso: Lucas ? J'-j'ai un mauvais pressentiment. Dit elle en reculant.

Elle avait raison. Un groupe d'hommes habillés en noir et armés jusqu'aux dents surgit des buissons et m'encercla sans voir la louve à quelques pas. L'un d'eux prit la parole d'une voix arrogante alors que je restais stoïque, les mains dans les poches.

Un: Alors on essaye de s'échapper dans cette forêt maudite ?

Deux: Pff . . . Vous avez vu comment il est habillé ? On dirait un clochard !

Tous rigolèrent, moi je restais impassible face à toutes leurs provocations , regardant les arbres autours toujours les mains dans les poches .

Trois: Bah alors tu as perdu ta langue le clochard ?!

Celui que je crois être le chef fit des signes que je ne compris que trop tard. Deux hommes derrière moi m'immobilisèrent les bras et un autre me donna un violent coup de genou dans la colonne, coupant ma respiration quelques secondes.

Évidemment, je n'allais pas me laisser attraper si facilement. En deux, trois mouvements, je me libéra, laissant trois hommes assommés à mes pieds. Toujours sans un mot, je frotta mes mains en regardant chacun d'eux d'un œil menaçant.

Cela ne plut apparemment pas au chef qui serra les poings rageusement.

Sans m'y attendre, un puissant coup percuta mon nez, me faisant légèrement perdre l'équilibre. Ils en profitèrent pour me sauter dessus, essayant de me tenir au sol.