Mon autre Monde // Gaara X Oc

Câlin surprise

On reste là à discuter. Je finis par m'endormir sur son épaule. Je sens qu'on me porte et éprouve un sentiment de sécurité sous la chaleur des bras de mon porteur.

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○ PDV Louis ○

Je vois Gaara faire un câlin à Marion alors qu'elle dors et se blottir contre elle. Je secoue Arthur violemment.

- Arthur ! Arthur ! Passe ton tel !, chuchote je, littéralement en train de faire une crise d'asme.

- Hein ? Pour- OK tiens., dit il, me passant son portable et ayant vu notre petite sœur de cœur avec le jeune shinobi.

Je prends plusieurs photos et range vite le téléphone d'Arthur, le lui rendant. Elle se réveille 5 heures plus tard, toute seule.

○ PDV Marion ○

Je me redresse encore somnolente. Je m'étire avant que Louis ne vienne a ma rencontre.

- Bien dormi ? Dans les bras de Gaara~ ?, dit Louis.

Je rougis un peu.

- Oui... J'ai dormi dans ses bras ? Sérieux ?...

- Ouaip ! Vous êtes trop chou...

Il me montre une des photos qu'il a prise.

- Oooooh.... Y m'a fais un câlin (ÚnÙ). Il est adorable♡...

- Des fois, je me demande si tu es folle ou si c'est normal d'être amoureuse d'un tueur en série...

- Ton insulte de tueur en série tu peux te la foutre dans le cul, connard... Mais t'inquiète, je vais bien mentalement...

- Ouais, bien sûr..., dit Arthur qui vient de nous rejoindre. T'es vraiment saine d'esprit., ironise t-il.

- Ui...

- Ok... bas alors... Cap ou pas cap de lui faire un câlin surprise ?..., dit Louis.

- Cap !

- T'es suicidaire..., conclut Arthur.

- Look at (ÙuÚ).

Je me lève et me dirige vers Gaara.

- Elle vas se faire defoncer..., marmonne Arthur.

"Arthur a raison, je risque de crever. Mais je suis trop folle pour ne pas le faire.."

○ PDV Gaara ○

Je discute avec Kankûro et Temari... Enfin discuter est un bien grand mot, je ne fais que les écouté...

- Gaara, Marion arrive derrière toi..., dit ma sœur.

Je me retourne et je n'est même pas le temp de bien la regarder qu'elle saute dans mes bras. J'ai 3 secondes de réflexion avant de l'entourer et de la serrer contre moi. Je vois les deux garçons de son équipe nous regarder, choqués. Je resserre mon étreinte et recule un peu, logeant ma tête dans le creux son cou.