Just A Bit Of Happiness

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Un enfant était tout ce qu'il y avait de beau, c'était l'une des merveilles du monde entier, c'était un cadeau du ciel, une nouvelle vie, un ange. Tout ce qui pouvait constituer une personne. Peu de personnes avaient la chance de connaître cette sensation, alors pourquoi lui abait on privé de ce bonheur depuis si longtemps? Pourquoi avoir prit cette partie d'elle qui n'était pas encore guéri? Et à cause de cette cicatrice, elle n'arrivait pas à apprécier de toute son être comme elle le désirait cette enfant qui grandissait en elle? Tput ça c'était leur faute! A ses parents. Ils avaient détruit sa vie en pensant que c'était une bonne décision, mais cela ne l'était guère.

-- Rose ?

Willy posa sa paume sur son épaule, elle sursauta en fixant la caféine entre ses mains.

-- Je.. J'étais ailleurs.

Avec la manche de son châle, elle essuya les larmes qui s'étaient échappé de ses iris. Elle supposait que maintenant Willy la croyait, il comprenait aussi que si elle ne l'avait pas averti... C'était parce qu'elle n'avait aucun moyen. Elle avait été privé de tout en entrant au pays.

-- Est ce que ça prouve que je disais la vérité?

L'homme debout, passa la main dans sa barbe. Il abait'toujours voulu la croire, mais c'était lui le problème. Il avait apprit du jour au lendemain qu'ils avaient eu un enfant. Avec leur passé, il ne pouvait y croire aussi vite. Oui voulu t'il dire mais s'abstient.

-- Tu ne veux plus me voir, tu as perdu confiance en moi, si tellement qu'il t'a fallu me suivre jusqu'ici pour savoir si tu allais me croire ou pas ?

Soit c'était les hormones, soit elle était très furieuse après avoir apprit que leur enfant avait été à l'orphelinat alors qu'elle aurait tout donné pour l'avoir avec elle. Elle voulait se défouler sur lui.
Leur enfant.. admettait il enfin qu'il avait unnfios quelque part qui attendait impatiemment de le voir? Oui.

-- J'avais besoin de savoir.

-- Non. Tu avais besoin d'être sûr! Savoir, tu le savais déjà. Le jour où je suis venue dans ton bureau.

-- Si cette personne ne t'avais pas menacer tu m'aurais jamais dit la vérité n'est ce pas ? T'aurais vécu ta vie comme s'il n'était rien et moi je resterais dans l'incertitude, jusqu'à la fin de ma vie hein? Quand comptais tu me le dire ? Sur ma tombe? Allais tu me dire un jour que j'avais un fils Rose?

Elle ouvrit la bouche pour répliqué mais n'y parvient pas.

-- Alors ? Tu m'en veux parce que j'ai voulu me prouver à moi même que...

-- Que je n'étais pas une menteuse.

Elle avait brisé son coeur. Alors pourquoi rejetait elle la faute sur lui s'il ne la croyait pas?

-- On n'a pas de temps à perdre. On se rendre à l'orphelinat.

Le DrGabin leur avait donné les coordonnés, ils devraient s'y rendre avant qu'ils ne reparte pour Eixample. Elle suivit Willy des yeux jusqu'à la voiture qu'il claqua comme si c'était lui le fautif. Il attendit derrière le volant clignotant les droits sur le celui ci, jusqu'à ce qu'elle se décide à le rejoindre.

Texas. Fort heureusement Willy était un bon conducteur et qu'il connaissait très bien les raccourcis. Comme si le ciel avait de la compassion pour eux, il n'y avait aucun embouteillage. Lorsqu'il tourna vers la droite, un grand panneau muni d'un écriteau, était posté devant une grande barrière. Ils étaient arrivé. Ils descendirent tout deux en même temps, une nonne avec un crucifix s'approcha dans leur direction.

-- Bonsoir, puis je vous aidez?

-- Oui, on voudrait voir la supérieure, Madame Ofkings.

La vieille dame aux lunettes fonça les sourcils.