Just A Bit Of Happiness

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Willy était celui qui conduisait la voiture, une douce mélodie passait dans la radio, et elle se mit à fredonner sans connaître les mots.

-- Au fait, Comment va Laura?

Elle n'avait toujours pas oublier la gifle reçu par Laura la dernière fois ça n'avait pas l'air mais pour elle s'était comme.

-- Elle va super bien, et le bébé aussi.

-- Le bébé? Elle est enceinte?

-- Non, elle a accoucher il a y'a quelque semaines. Elle a eu une magnifique petite fille.

Elle était heureuse pour sa soeur, elle avait enfin la famille qu'elle avait toujours voulu.

-- Avec Charly? Je me souviens qu'elle pensait pour lui a l'époque sont ils en couple maintenant?

-- Non, c'est pas lui, mais je te cache pas qu'ils sont sortis ensemble, mais je crois que ça n'a pas marcher. Laura à épouse Ricardo. Il est ingénieur.

Oh waw.

-- Elle fait quoi comme boulot?

-- Policière, comme moi. Elle a arrêté l'économie puis on s'est tous les deux retrouvé dans la police. Elle a arrêté avec la venue du bébé. Viens on est arrivé.

Elle eut le souffle coupé en découvrant le restaurant dans lequel il travaillait cinq ans plus tôt. Celui qui lui appartenait.. le principal suspect de leur premier baiser.

-- Il a été vendu il y'a peu de temps. Et je t'assure, ils cuisinent vraiment très bien. Tu veux tester?

Elle le suivit à l'intérieur, prit place tandis qu'il discutait avec le nouveau patron du restau. Effectivement, le décor n'était plus le même, les chaises et les tables aussi, mais elle se souvient aussi très bien l'endroit où il l'avait embrassé après l'avoir suivi. Elle était assise comme par hasard à cet emplacement. Elle eu soudainement une crampe.

-- Rose? Rose est ce que ça va ? Il se précipita vers elle en lui laissant le dos, comme si elle avait envie de vomir! Ce qu'elle voulait s'était partir d'ici.

-- Oui oui, ne t'en fais pas c'est juste à cause du bébé mais ça va.

-- Tu veux rentrer? Chez toi?

-- Non, Randy n'est pas là et je veux pas rentrer maintenant. Je vais bien j't'ai dis t'en fais pas.

Willy n'eut pas l'air totalement convaincu, mais hocha quand même la tête.

-- J'ai commandé du poulet.

-- Cool.

Au moins il essayait de ne pas lui donner tout ses régimes qu'elle avait horreur.

-- Où il est ton mari?

-- En voyage d'affaire. Commença t'elle en buvant un peu d'eau. Son père a voulu qu'il le remplace pour une affaire au Japon et il est partit ce matin.

-- Te laissant toute seule?

Elle savait où il voulait en venir. Elle rectifia.

-- Je l'ai convaincu d'y aller. Après tout je ne suis pas en danger.. il ne voulait pas rater une minute à cause du bébé.

Il haussa les sourcils.

Elle lui avait enfin dit pour sa grossesse. Pensa Willy.

-- Tu t'es enfin décidé à l'informer.

-- Je n'ai pas eu le choix. C'est aussi son enfant. Je n'ai pas le droit d'être égoïste. Tu m'as toujours pas dit ce que tu as trouvé sur cet homme.

La serveuse apparue avec la commande. Rien qu'en voyant tout ça elle eu l'eau à la bouche.

-- J'ai demandé à ce qu'il soit bien cuit et sans graisse.

-- C'est excellent. Tu avais raison. Reconnut t'elle en prenant une bouchée. Emma t'a t'elle pardonné de ne pas lui avoir dit que tu partais aux États-Unis? C'est Laura... Elle pensais que c'était toi, elle n'a pas arrêté de... Enfin tu la connais quand elle est nerveuse ou furieuse.

Ce qui l'étonnait c'était le fait qu'elle le questionnait maintenant.

-- Elle était furieuse mais tout c'est arrangé. Dit il désinvolte.

-- Ok.

Une journée merveilleuse. Elle n'était pas retouner au bureau. Elle avait passé le reste de la journée avec lui. Bon Dieu comme elle s'était amusé... Pendant un court instant, elle s'était rappelé de comment c'était avec lui avant. Et presque tout était parfait, à la différence qu'elle était marié, enceinte, et lui fiancé. 2/1. Il était 7h lorsqu'il se gara devant sa grande maison. Et qu'elle descendit.

-- J'aurais dû prendre ma voiture. Murmura Willy en l'excortant jusqu'à la porte d'entrée.

-- Tu peux repartir avec la mienne tu me rendra demain.

-- Non, je vais marcher ça me fera du bien, toi tu dois rentrer.

Oui, elle devrait. Son paquet entre les mains, elle ôta sa veste pour le lui donner. Dire qu'ils étaient dehors toute une journée enntenue de travail, l'uniforme lui allait trop bien, avec ou sans la veste qu'il lui abait passé autour de l'épaule parce qu'il commençait à faire froid.

-- Merci. Pour cette journée, et pour les polivito uruguayo, et les sobao.

A noté que c'était tout deux des petits gâteau au saveur différente, originemaire demi Barcelone. Ses préférés, et il s'en était rappelé. Tout comme elle n'avait pas oublié qu'il raffolait des spaghettis avec de la sauce tomate, sans parler des petits pains grillé. Typique d'un italien et américain. Elle comprenait pas pourquoi il était Barcelonais puisque tout ses préférences n'avait rien avoir avec ses origines.

-- Ce n'est rien.

Si c'était quelque chose, il avait fait en sorte que leur rendez vous tombe le jour même de la fête foraine, avait usé de ses talents pour la convaincre de sortir déjeuné avec lui pour en revenir vers 7h du soir. Ce n'était pas digne de la femme mariée qu'elle était, pourtant elle ne pensait pas à ça, ni même à rien d'ailleurs! Ça c'était l'effet de Willy. Silencieusement, ils se dévoraient du regard, elle fut la première à partir. Juste pour évité qu'il avance encore plus qu'il le faisait, pour ne pas commettre l'irréparable.

-- Bonne nuit.

-- Bonne nuit, Willy.

Comment expliquer le tremblement de ses pieds alors qu'elle gagnait la porte d'entrée? Lorsqu'elle y arriva enfin, elle claqua celle ci en restant collé à elle les yeux fermé, le coeur à prompt. Merde! C'était l'effet de Willy. Rien de plus. Elle avait été amoureuse de lui, folle de lui, donc c'était normale qu'elle a toujours certaines réactions ou sensations lorsqu'ils étaient proche. Et elle avait bien fait en reculant. Après avoir reprit ses esprits, elle se dirigea vers sa chambre pour prendre son bain et appelé Randy.

☆☆☆☆

L'air frais de cette douce soirée lui faisait bien. Le sourire aux lèvres, il savourait le vent dans ses cheveux coupé court. Il ne devrait pas être heureux après cette journée passée avec elle. Mais pourtant il l'était. Il se surprenait même à ne plus là détester comme avant. Avait il l'intention de lui pardonné? Elle lui abait donné un fils qui était quelque part dans la nature. Peut être sans le savoir, elle avait elle même créé son propre issue de secours. Encore une fois, il l'avait tenu éloigné des informations qu'il avait trouvé. Mais ce n'était pas parce qu'il le voulait. Juste parce qu'il ne voulait pas trop l'inquiéter vu sa situation. Putain... Encore une fois, il se souciait d'elle. Il se l'était interdit un millier de fois, mais c'était plus fort que lui. C'était comme s'ils étaient encore lié, par parce qu'ils avaient eu un enfant. Mais c'était beaucoup plus fort, plus intense. Qui dépassait même le fait qu'elle était mariée et lui fiancé. Ils avaient prit des chemins différents, mais tout semblaient faire pour qu'ils se revoient. Tout comme l'appel qu'il recevait d'elle alors qu'il venait de la déposer et qu'il était déjà à trois kilomètres à pieds de chez elle. Il sourit inconsciemment en décrochant.

-- Ne me dis pas que je te manque déjà?

-- Willy... vient vite s'il te plaît... Il...Il y'a quelqu'un dans la maison... s'il te plaît vient vite j'ai peur... Il.. Il est armée...