Il était 23h lorsque Randy entra dans leur maison, il savait qu'elle rentrait aujourd'hui pourtant, il n'était pas venu la récupéré.
Il était toujoursen colère à cause du retard dans son décalage, un retard qu'elle même avait désiré. Combien de temps comptait il l'ignorer? Il ne l'avait même pas téléphoné juste pour savoir si tout allait bien. Elle fixa Randy qui défi sa cravate en soupirant, il savait sûrement qu'elle était là, puisqu'il s'était retourné vers elle.Silencieuse, elle le scrutait, sans savoir par où commencer. A vrai dire c'était leur premier dispute. Surtout entre couple.
-- Tu vas resté fâcher encore longtemps? Demanda t'elle.
Il ne répondit pas, profitant pour s'offrir un verre dans le mini bar.
-- Je suis pas fâché. Dit il après avoir bu une gorgée.
-- Mais tu es en colère.
-- C'était notre premier St Valentin comme mari et femme.
Oui, elle savait. Mais les autres fois ils l'avaient passé ensemble non?
-- Ça comptait pour moi. J'ai annulé tout mon emploi du temps juste pour être avec toi. J'ai dû accepté que tu partes mais pour revenir dans la soirée mais pourtant ce n'était pas le cas. J'ai...
Il avait parlé si vite qu'elle restait bouche bée, Randy reprit son souffle avant de poursuivre.
-- J'ai même dû faire rapporter le cadeau que j'avais pour toi.
Son coeur se serra. Elle était coupable, elle en était parfaitement consciente. Elle, elle n'avait pas de cadeau pour lui, ou sinon, elle n'avait pas de cadeau pour lui maintenant. Mais elle avait besoin de lui. En pluscela ne servait à rien de cacher sa grossesse encore longtemps. Randy l'aurait su dès qu'il lui ferait l'amour.
Elle se mit debout, s'avançant tout droit jusqu'au bar, en joignant ses mains aux siennes.
-- Moi j'ai un cadeau pour toi. Et que je n'ai pas pu rapporter parce que... Eh bien c'est impossible.. Du moins pas comme tu le penses...
Son mari fonça les sourcils, incompréhensif. Un jolie sourire se dessina sur ses lèvres de Rose, tandis qu'elle portait la paume des mains de Randy sur son ventre, avant d'hocher la tête lorsque celui ci comprit enfin ce qu'elle voulait sous entendre parce geste.
-- C'est... C'est vrai?
Un second hôchement de tête, et il s'agenouilla pour caresser et toucher son ventre à peine visible.
-- Est ce que je peux le sentir bouger ?
Elle éclata de rire face à cette question stupide mais si drôle, comme le bonheur pouvait faire déliré les gens, pensa t'elle quand il captura sa bouche.
-- Merci. Dit il en l'embrassant encore et encore. Merci. Je suis vraiment désolé... C'est ce qui a retardé ton vol ?
Elle n'avait pas envie de gâché l'humeur en entrant dans une autre histoire encore plus compliqué. Mais elle n'avait pas non plus envie de lui mentir.
-- Non, pas en partie.
-- Peu importe c'est le meilleur cadeau de toute ma vie.
Oui, ça elle en était sûr.
☆☆☆☆
-- Ah oui? Tu lui en a parlé?
La voix de Rosie était strident à travers le fil. Rose se détendit presque sur le canapé dont Randy lui avait gentiment conseillé de s'allonger.
-- Oui. Je le lui ai dit c'est la moindre chose non? J'ai pas pu faire autrement.
-- Oui oui je comprend.
Randy était de l'autre côté alors elles parlaient en jargon afin qu'il ne comprenne rien.
-- Oui.
-- Mais aloes à t'il rappelé?
Il? S'était de Willy qu'elle parlait. Non. Il n'avait pas appelé. Il ne l'avait même pas fait par courtoisie. Elle secoua la tête en sachant à quel point elle aurait voulu qu'il lui téléphone juste pour savoir si elle allait bien.
-- Non. On est samedi, il n'est peut être pas en service.
Et elle ne travaillait pas aujourd'hui parce qu'elle prenait une pause. Qui selon son mari, était bien pour le bébé. C'était en partie pour cette raison qu'il était resté travailler à la maison. Pour veiller sur elle.
-- Tu es toujours là?
-- Oui. Comment vont les enfants?
-- Oh ça va ce n'est pas facile hein, bientôt tu sauras de quoi je parle. Randy à t'il prévenu la famille?
Oh oui!
-- Demain on doit se rendre chez son père pour un dîné en famille.
-- Ah.. d'accord, dîner avec le député, sa femme, et son fils..
-- Oh la ferme. Je suis aussi la femme de Randy, en plus tu le sais déjà je préfère sa famille à la mienne.
-- Qui te dis que maman ne rappliquera pas?
-- J'espère pas. Sinon je risque de passe une mauvaise journée...
Willy se laissa choir sur le fauteil en baillant. Il était 22h lorsqu'il vérifia sur son téléphone. Il regarda l'écran de l'ordinateur et jouant avec la souris. Il n'avait pas trouvé grabd chose, mais la description de Diane était correct, il ne lui restait plus qu'à approfondir ses recherches. Un texto pont à sur son portable. C'était Emma. Hier elle lui faisait la tête et aujourd'hui elle se comportait comme si tout était normal. Elle l'appela et il répondit à la première sonnerie.
-- Em.
-- Tu travailles un samedi soir?
C'était de son fils qu'il s'agissait, pour ça, il n'avait de jour pour travailler.
-- Oui, mais je viens de finir.
-- Ah... Donc c'est une très bonne idée pour ce que j'avais en tête..
Emma apparue sur le seuil plus belle que jamais dans une petite robe noir. La coquine...
-- Tu es là depuis combien de temps?
-- Assez longtemps pour voir la toute dernière personne qui a quitté la pièce.
Elle s'assit sur ses genoux en califourchon.
-- Je suis venu te détendre...
Elle déposa un baiser sur son front puis son nez ensuite ses lèvres.
-- Ça tombe bien je suis pas mal tendu...
Plus les minutes s'écroulaient, plus Emma mettait du temps pour se rhabiller, ils quittèrent ensemble le poste de police, pour la ramener à son appartement.
-- Tu veux entrer? Proposa t'elle.
-- Pas sûr je dois aller chez moi.
Et recherché s'il n'avait pas trouver autre chose sur cet homme.
-- Oh ok.
Merde! Non seulement il ne lui avait pas prévenu pour son voyage, elle lui avait pardonné et là maintenant... Il s'éloignait encore une fois d'elle. Il sortit de la voiture en claquant la portière.
-- Tu sais quoi? Finalement je vais resté.
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Just A Bit Of Happiness
RomansaRose Harper vit la belle vie au côté de son mari. Toute juste mariée, en plein milieu de sa lune de miel, elle fait face à un secret qu'elle avait longtemps gardé. Mais plus tard, elle comprit que ce lourd fardeau, elle ne pouvait le porter seule et...