chapitre 9

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On va prendre le métro, il était environ 3heures du matin. On dépose Coralie devant chez elle puis ensuite on va à nos appart.

Quand on rentre dans mon appart

Simon me dit :

Sim : Viens on fait une after party ?

Moi : on a pas d'alcool.

Sim : Si si j'en ai moi. Attend.

Il part dans son appart et reviens avec 3 bouteilles d'alcools.

On s'assoit par terre. J'enleve mes talons. Et on boit à même la bouteille.

Moi : Désole de t'avoir gaché ta soirée au faite.

Lui : quoi ?

Moi : Bah oui t'aurais pu me laisser rentrer seule et tu serais rester jusqu'a la fermeture.

Lui : nan je voulais pas que tu repartes seule. Puis en plus je voulais pas que t'aille dormir chez l'autre.

Moi : Thomas ?

Lui : ouais.

Moi : En tout cas. Je vais dire à Julien et mes parents. Que tu t'occupes bien de moi. C'est comme si j'avais deux grands fréres.

Lui : deux grands fréres. ?

Moi : Oui Julien et toi.

Lui : ouais.

Moi : c'est toi même qui a dit que j'était comme ta petite soeur.

Lui : T'en a envie ?

Je le regarde, je comprend pas. Envie de quoi ? Mon cerveau il a du mal à réagir avec toute la vodka que j'ai bu.

Lui : T'as envie d'être comme ma petite soeur ?

Je répond quoi ? Je répond quoi ?

Moi : ..

Je le fixe, je bloque sur sa tronche. Ahhhh il est trop beau putain !!

Lui : quoi ?

Moi : quoi quoi ?

Lui : Pourquoi tu me fixes ?

Moi :..

Lui : Rose ?

Moi : t'es beau.

Il sourie.

Lui : ouais, j'sais ça.

Moi : ...

Lui : Je peut pas te considérer comme ma petite soeur.

La, mon coeur il bat super fort.

Moi : Pourquoi ?

Il passe sa main dans ses cheveux, et sur son visage.

Il prend une gorgée de vodka et dit :

Lui : J'ai envie.. De t'embrasser. Je me retient mais c'est dur

Je sent que je deviens toute rouge ! Je léve mes yeux vers lui et regarde ses lévres. C'est vrai que moi aussi j'en ai envie, qu'il m'embrasse.

Il avance lentement son visage du miens. Il met sa main sur ma joue et il m'embrasse enfin. Un baisser doux.

Je caresse doucement sa nuque. J'ai du mal à croire que j'embrasse Simon.

Puis notre baisser devient de plus en plus rapide. J'enléve son t-shirt. J'avais envie de lui. Il enléve ma robe. Ses mains, sa bouche, son odeur tout est absolument parfait.

N'oser pas à commenter@

chronique de roseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant