Chapitre 2: Cohabitation

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Enfin cette journée placée sous le signe de l'hypocrisie et des faux-semblants touche à sa fin.  "Le plus beau jour de ma vie".  Laissez-moi rire. Si ce n'était que ça, je m'en serais remise sauf qu'il est temps pour les "jeunes mariés" de renter et bien-sûr à partir de ce soir je vais devoir habiter avec monsieur.

À près avoir salué tout le monde je le suis sans broncher jusqu'à devant une belle Lamborghini Urus verte pommes. Il déverrouille la voiture et m'ouvre la portière. Monsieur est galant à ce que je vois.

-Bonne nuit ma puce.

Ah non y a juste mes parents dernière en faite. Je retourne et salué les parents avant de monter dans la voiture.

Après presque une demi-heure de route nous arrivons devant une villa moderne et éclairée. À peine descendu de la voiture qu'il me plaque contre cette dernière sans me laisser la possibilité de m'échappée.

- Qu'on soit bien clair. Il me dit d'une voix neutre.Premièrement ce mariage c'est pour l'image en plus t'es clairement pas mon style. Deuxièmement, on fait chambre à part. Et pour finir u m'adressera la parole que lorsqu'on sera en public. Est ce que c'est claire ?

- oui très claire. Je lui répond d'une voix froide.

D'un côté je suis plutôt contente qu'il me dise ça puisque je pourrais l'ignorer mais de l'autre je suis un peu blessé par sa manière de faire passer le message.

Il me relâche enfin et me laisse planter devant la voiture avant qu'une femme je dirais d'une cinquantaine d'années vienne vers moi. Une certaine Cassandra Cruzeiro d'après ses informations. Elle me fait visiter la villa et me montre ma chambre avant d'aller me faire couler un bon bain chaud juste après lequel je rejoins les bras de Morphée dans ces draps frais.

✰✯✰✯

J'immerge lentement de mon sommeil. J'enfile mon peignoir en soie et descends prendre le petit déjeuner. À peine installer que j'entends une voix froide et désagréable qui me dit :

- Qui t'as autorisé à manger sur la table ou je prends mon petit déjeuner ?

Je relève la tête de mon téléphone et découvre Nathanaël entrain de le descendre du regard. Je décide de l'ignorer et retourner à mon Grand prix tout en dégustant ce délice qu'est mon petit déjeuner.

- Eh!! C'est à toi que je parle espèce de folle! Et déjà le téléphone est interdit à table. Il se rapproche de moi, jette un œil à ce que je regarde et ajoute. Surtout si c'est pour regarder une merde pareille.

Il ajoute avant de m'arracher l'on téléphone ni une ni deux, je bondis de ma chaise tel une tigresse en furie

- Par contre tu vas te calmer et me parler sur un autre ton! Je ne suis pas ta gosse et encore moins une femme sur qui tu peux marcher. Sur ce je lui arrache mon téléphone et reprends tranquillement mon visionnage. Pff il m'a fait rater le départ ce fou.

- Ouais c'est ça fait la maline tu verras. Je te rappelle que je t'ai épousé parce que ton père a supplier le mien parce que t'es une bonne rien qui habitait encore chez ses parents à 27 ans tu les pesaient ils voulaient juste que tu dégage de chez eux. Alors si tu veux pas déjà divorcer au bout d'à peine deux jours tu vas te calmer et me parler sur un autre ton. Hé d'ailleurs il y a un gala de charité ce soir je te veux prête pour dix-neuf heures pile et pas une de plus. T'as intérêt à bien t'habiller déjà que je dois le coltiner une mocheté comme toi...
Il se fait coupé par son téléphone et s'en va en me laissant dans la cuisine. Qui lui dit que j'ai rien écouter enfin si une histoire de gala à dix-neuf heures et je pense qu'il a dû bien de tailler. Il me parle pendant mon grand prix et il croit que vais je l'écouter .

LET'S REGRET Où les histoires vivent. Découvrez maintenant